2445 Mercredi 3 Juillet 2024

il se passe toujours quelque chose – les choses en vie ne cessent de se déplacer, ou de croître et d’embellir – on se marie, on se divorce, on se déchire on se cajole (Diane Tell il me semble en parlait (chantait plutôt) dans Starmania – laquelle comédie musicale fait toujours un tabac – c’est assez vulgaire, pop ou variètte : ce genre de culture attire le mépris des élites – dans le journal on vous parlera de Taylor Swift) – c’est cependant un compartiment du jeu que j’aime beaucoup – pop –

La chanteuse franco-malienne Aya Coco Danioko, alias Aya Nakamura, arrive pour la deuxième édition de la cérémonie de remise des prix de la musique « Les Flammes » au Théâtre du Châtelet, à Paris, le 25 avril 2024. (Photo de JULIEN DE ROSA / AFP)

« je me changerai en or/pour que tu m’aimes encore »chantait Céline Dion (du même ordre qu’Aya qui appelle à voter nouveau front populaire front de gauche front républicain – c’est fou tout ce que ce front est qualifié) : des mots écrits pour elle par JJG quand même stuveux – hier j’avais dentiste

mille euros – merci qui ? (ce n’est qu’un début on continue le combat !) les sandwichs de la jeunesse?  j’avance en âge et j’adore ça – j’ai vu que l’ordure peroxydé avait réussi grâce à une cour qui n’est suprême que dans les mots (cette honte) à échapper à un procès – contrairement à la ministre de la haute culture qui, elle, a été rattrapée par la patrouille (de la même manière que nano son mentor) (Carlos Guyancourt doit se retourner dans son Liban) – il vient des envies de meurtre ? allez soyons décomplexés…  le sacré n’existe plus, si dieu n’existe pas alors tout est permis… ces gens sont perdus dans l’ombre épaisse de leurs pensées immondes – no pasaran ! – j’en ai profité pour faire un tour dans cette ville que, décidément, j’aime beaucoup

en spéciale dédicace à la grande panne – un appel à apap (avec tous mes encouragements camarade !) (il est difficile, cependant, d’en rire) – E.est arrivée à Marseille et bientôt, évoluera sur le parking du théâtre du Soleil – image de la salle d’attente dentisterie

et des piments de Djamila (la mère de mon gendre : comment la nommer, sinon ma sœur ?)

tourne en boucle depuis quelques jours ce Salut à toi par Bérurier noir – je vais au journal d’atelier puis à la treize tout en (re)lisant le Une longue saison de douleur et de mort de Philippe Foro