2633 Mercredi 13 Mars 2024
quelques livres arrivés du soldeur deuxième main – lire ou écrire ?
les deux mon général – (la #8 d’atelier recèle nombre de viols – pouvoir guerre destruction – horreurs quotidiennes – terreurs) (commenter en humour semble difficile – commenter l’est, toujours) – de retour à la nuit
en voyage – cinquième étage sans ascenseur (plus le temps passe, plus le souffle court) (ce qui ne veut pas dire grand chose, je reconnais – pour un bon mot, on renierait bien des choses) – en descendant hier vers dix heures pour s’en aller vers le marché oriental, à l’aplomb du troisième étage (cent vingt-deux marches quand même – en tout certes – on n’oublie pas le pain avant de remonter…), inconsciemment je veux fermer mon manteau tout en regardant le quantième de l’étage, mon pied dérape, je me sens partir vers l’avant, je me retiens de ma main gauche sur une rampe vaguement débile, qui me retient elle aussi, je serre me vois tomber dévaler ces six ou huit marches de marbre (blanc jusqu’au trois d’ailleurs, plus haut elles deviennent noires) devant moi et mourir – non – mais tendon amoché à ma cheville droite – chance
en maison[s]témoin un peu d’actualités
failli oublier : jusqu’au 20 mars la cagnotte pour aide d’installation en Creuse de Fabienne Swiatly
en face Les Suffragettes (Sarah Gavron, 2015) en costumes – le rôle des martyres – froid aux os… (on avait apprécié le Rocks (2019) de la même réalisatrice et aussi le Rendez-vous à Bricklane (2007) magnifique
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plaisir (pour nous) de ce retour
m’en vais voir la maison témoin (et peut-être arriver à participer très petitement la cagnotte)
ma vie très chanceuse me rendait perplexe pour le 8 (m’en sors toujours)… à vrai dire ai trouvé mais n’étais pas en état d’écrire… ai juste pondu cinq lignes avant les petits ennuis d’hier et n’étais plus en état… vais tenter aujourd’hui si mon programme qui devait être presque plein est perturbé à nouveau (mais vais être durablement soumise aux besoins des autres) (tout le monde décide que suis toujours là et sans projet, sourire)- de toute façon ce sera broutille résolument broutille ma violence… je décroche un peu de l’atelier, mais ne lirai qu’après
Je regrette la disparition de l’émission de Laure Adler, sur France Inter, « L’Heure bleue ».
Il nous reste, ici ou là, des photos de nuit. 🙂
@brigitte celerier : merci en tout cas et pour le texte de « violence broutille » et le commentaire. Merci à vous Brigitte
@Dominique Hasselmann : de jour aussi, oui. Merci à toi