2586 Vendredi 26 Janvier 2024

l’affiche a écrit sur le type, entre autres, pour son one-man-show (qu’on appelle aujourd’hui stand-up pour ne pas dire seul en scène qui est quand même plus élégant) (ce que j’en dis, hein) (en bas du cou)

macron c’est comme un père alcoolique, dehors il te fout la honte,dedans il te pourrit la vie

(ce qui est loin d’être faux) et la régie (qui a de ces pudeurs) a refusé de l’afficher – tu me diras ce que ça a à sa tête… – c’est un peu comme le conseil régional : l’uniforme tu avoueras aussi – c’est pourquoi je pose ici ceci

pas certain qu’on m’y voie – on s’en fout c’est vrai aussi – deux ou trois heures de marche quand même – et ça recommencera aujourd’hui – ceci

pour une grand-mère de T. qui vient de partir – on marche, on marche mais c’est sans écriture

on fonce même

ici les mouettes sans vergogne sur la victoire fortune ange ailé

là un premier menu (un peu voleur peut-être – sûrement – mais c’est à Châtelet)

là une vitrine abandonnée (quelle pitié et quelle honte)

(j’y achetais parfois, vers ces temps-ci, pour l’année nouvelle, des marrons glacés pour un de mes commanditaires – décédé d’ailleurs) (on avance en âge hein) ça ne m’indispose et ne m’importe que peu – ici une deuxième (assez voleur aussi)

starter tu parles – english spoken – il est vrai que les rues fourmillent de touristes valises à roulettes et nino en bataille – pouvoir d’achat comme on dit – saleté parfois, réparation

un troisième

je ne sais si je vais le numéroter (mais quel ridicule que cette posture, serait-elle celle d’un roi)

en impose-t-il ? désespérant (#435 mais ce devrait être un bis) – mais j’aime à avoir capté ceci

une posture aussi – un dernier

ça ne fait rien, repas de midi avec A., déjeuner, encore marcher pas mal – rentrer lire « Le livre noir » nobel Orhan Pamuck – délayé (cinq cents pages) – le soir repas chez les amis voltaire

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