B2TS Louis Blanc-Chateau Landon 2.4

B2TS (back to the street) une série pendant le week-end (le dimanche) de photos présentant des photos elles-mêmes collées sur un mur – ici celui d’une petite maison du service des eaux (crois-je imaginer) babylonien sise au coin des rues Chateau-Landan/Aqueduc/Louis-Blanc dans le dixième arrondissement de cette capitale

(l’actualité m’a saisi – c’est une erreur grossière – au lever tardif – tel est ainsi le monde (un petit P. arrivait cependant sur cette planète vers neuf heures hier soir : qu’il soit le bienvenu et vive en paix) – je me suis retrouvé au lit endormi comme un bébé pendant une dizaine d’heures (c’est beau, on dirait de l’antique) – un café 3 antibiotiques & pain plus tard – il faisait froid sur la capitale, sur le pont de Grenelle Bir Hakeim (il faisait froid aussi à Nantes : je mélange tout à ton avis ? Ou sont-ce symptômes d’une même exaspération des passions tristes ?) (du pain et des jeux – et un peu du reste (je lis que le technicien canari indique « évidemment qu’on va prier pour lui« ) (sans compter l’usage du vocabulaire découdre – je suis tombé dans l’ornière) – j’en sors (mais je tente de rester heureux- à l’image des sourires que je pose ici) (à ce propos, dédé sort un petit livre – je ne suis pas certain qu’il s’agisse ici de promotion (mais sinon, qu’est-ce ? ) (je te le demande…) chroniquez, il en restera quelque chose – or donc, passons aux choses du jour (celle-ci fut déjà croisée, je crois, (j’en suis certain) du côté de de la rue Léon-Jouhaux)

déjà endommagée (elles ont pratiquement toutes disparu de ce mur-là) – et je le prouve

(me voilà exégète de ces images qui commencent à me courir) (non, en effet personne ne m’y oblige, je tiens une ligne simplement – et je n’édite que peu : je présente les images dans l’ordre où je les ai capturées et retaillées)

la pose

le décor

les couleurs et les fleurs

ah tiens donc – bah

je préfère, oui – parfaitement et formidablement

et puis

et après

un début dans la vie – avançons, continuons

(déjà croisée aussi, mais où ? je ne sais pas bien – ce n’est pas tant que je fatigue, tu vois (mais oui,certes) mais quoi ? Toujours recommencer ?

Bon dimanche