2513 Mardi 14 Novembre 2023
ça va la vie ? Des images glanées dans l’euphorie de la dispersion (quelque chose quand même du travail – une espèce de, non rémunérée – ville&cinéma augmenté d’une fin de carnet (aujourd’hui, dernier jour, avec madame Ciccone) et d’un épisode d’enfance (3) pour finir avec le (4) assez rapidement – merci à Kiki) – seulement deux images dispersées (deux égéries; muses; stars; adulées; aimées; chéries)
pas seulement parce que son prénom relève de l’acronyme (car, anéfé, il n’existe pas (dans le rythm’n’blues) (et ailleurs) d’alternative à miss Turner (so sexy – elle en fait beaucoup…) – puis
parce qu’elle adore nager (ainsi que le rédacteur) (très rock’n’roll aussi – Deborah Levy) (idem)
on a beaucoup pleuré devant la boite (ce sont des films courageux- si tant est que cela veuille dire quelque chose)
dans la boite donc Quand tu seras grand (Andréa Bescond et Éric Métayer, 2023) un peu lourd – non, mais Macaigne (Vincent) n’est pas si mal (des tonnes, certes) (la vie – et la mort, fatalement – dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) chef d’équipe (le réalisateur joue le rôle du directeur : la hiérarchie est respectée…) (les seconds, troisièmes, quatrièmes etc. rôles magnifiquement tenus)
De son vivant (Emmanuelle Bercot (ex-Fémis), 2021) idem – un professeur de théâtre (Benoît Magimel) meurt (maquillage) d’un cancer du pancréas – sa mère (Catherine Deneuve) qui lui a pourri la vie l’accompagne (très jolis chemisiers)… l’amour plus fort que la mort (provisoirement) enfin… bah
suis larguée là… et non seulement pour le 4 que je découvre et pour lequel l faut que je me nettoie des souvenirs et trouve temps mais dans la lecture – faut que j’arrive à lire au moins quelques trois, envie en ai
Benoît Magimel (un patronyme culinaire), à voir sûrement dans « La Passion de Dodin Bouffant » (lui aussi, avec ce nom prédestiné)… 😉