2495 Vendredi 27 Octobre 2023

trois quatre images (plus une) pour la fin de semaine – on va tirer le rideau quelques jours – fatigues et maladies sont dans un bateau – « octobre tient sa revanche » comme dit la chanson ça ne va pas mieux, je ne l’aime pas trop (non plus que les deux suivants) mais il finit par se terminer (mal, en quinze, très mal) (tout comme les deux autres – à la fin, les « fêtes » – cette détestation) (très noir – très) (la mesure dans laquelle j’agis pour ces images est assez inconsciente : je prends ce que je trouve, par ailleurs je lis (Enfance de Nathalie lovely Sarraute, Pas pleurer de Lydie Salvayre, l’étude sur les Champs Élysées) – des idées d’écriture qui viendraient soutenir la 1 d’enfance (du côté des filles) mais l’impression de sortir des rails de TS2M* (sous le bras ça se déchire, puis on enfonce lentement une aiguille, profondément, puis encore une, puis encore – fucking zona…)

donc ici un prix Nobel (à ce qu’il semble)

deux cinéastes défunts

une sphinge à bras humains qui prend une photo au nino semble-t-il encore (du côté de Trieste crois-je me souvenir)

et pour finir, cette image d’archive porte de Clignancourt (le pare-brise feuilleté a tenu contre la vingtaine d’impacts quand même)

(j’ai l’impression qu’il s’agit d’un bouquet de fleurs posé sur le capot…) (il y avait quelque chose comme cet attrait pour ce garçon, alors, qui ressemblait à ce qu’on avait éprouvé pour le frère à DjiDjiGé, descendu flingué abattu également par la police (et son honneur, pour ce frère) deux mois plus tôt – le 20 septembre, cette année-là) et cette image en prime pour finir

La guinguette,  Edouard Vuillard, 1898)

*nom/acronyme de code du projet qui ne prend pas corps (c’est mon lot, entreprendre puis cesser, je suppose) (cependant le texte que je donnais sur les oloé, un jour à Anne Savelli qu’elle me fait le plaisir de lire – c’est là)