2488 Vendredi 20 Octobre 2023
laisser en une le bateau
pluie – c’est l’hiver qui vient la lumière qui fait défaut les nuages (la trop grande fatigue zonaïotte) – éclairage d’artiste (Alfred Sisley)
je marchais hier pensais à Gérard Théodore – l’espace du 46 de la rue (ou 48) l’appel d’offre négligé inutile c’en est trop – j’avais une autre image, celle de la présidente de la Géorgie à cause de ces deux films (elle est dans le carnet) ( je ne sais plus, j’ai oublié, cette mère qui s’en va chante et joue de la guitare (Une famille heureuse , Nana Ekvtimishvili et Simon Groß , 2017) et cet autre chroniqué ici ce pays de fleurs et de fruits (Sous le ciel de Koutaïassi, Aleksandre Koberidze 2022) – connais pas, jamais été, l’espoir d’y aller peut-être un jour – il est six heures, les éboueurs se mettent à l’ouvrage et comme toujours le monde bouge encore)
en face Les cent et une nuit de Simon Cinéma (Agnès Varda, 1995) réjouissant (Marcello Mastroianni vêtu par Christian Dior qui n’était pas encore une marque)
m’intrigue le film
quant à la pluie et à l’hiver tout ce qui n’était pas nous tombe allègrement dessus (un peu embêtée en pensant au temps que vais passer dehors ces deux prochains jours)