2417 Mercredi 9 Août 2023
déjà plus qu’à sec – les catastrophes financières (la retraite réclame des arriérés indûment avancés et versés) – se battre alors (retour en détresse) ici vers cinq heures trente
ou plutôt là-bas, en Normandie, à une demie-heure d’ici – le jour se perd – vers six heures vingt
brouillard – une heure plus tard; décadré
léger pano, une minute plus tard
le puits, le noisetier, le sapin, le frêne (Lulu deuch’nord parle en quatre langues des saules) – retour perdant (deuils à répétition, tous mes amis s’en vont)ici l’olivier du balcon
tomates et poivrons – départs de citronniers – sans doute un attachement aux arbres suscité par l’âge et la vieillesse – je me disais hier « dans moderne il y a mode – d’abord » ce qui suscite ma haine sans doute -laquelle vient après la détresse – le midi, repas familial – le soir
fait doux – à dix ans d’ici, la plage la mer le vent…
en face Une histoire vraie (David Lynch, 1999) (où l’acteur principal, Richard Farnsworth, s’est supprimé au début de ce siècle – un peu comme le sanaryote qui, lui, n’a fait que cesser, ce qui revient au même)
et rage de ne pouvoir rien y faire…
et de profiter de l’amour des arbres (est ce seulelent l’âge ?)
Beau ciel ! Ici, mon olivier sur balcon produit des olives plutôt petites (tout est donc à la réduction).
J’ai aperçu le David Lynch sur Arte.tv (qui repasse d’ailleurs cinq films « incunables » de Jim Jarmusch – j’aime depuis longtemps ses cheveux blancs – que j’ai revus avec grand plaisir !).