Pendant le weekend

2386 Dimanche 9 Juillet 2023

 

 

 

 

 

marche en avant (images posées au carnet, mais je m’y perds un peu) – on était en manif sans image –

plusieurs milliers nassés stressés éconduits : tout sauf la liberté – monde d’interdits – « faut arrêter de tout interdire parce que j’arrive  plus à tout désobéir » disait un mur – résister

en vrai ça ne concerne que peu de monde (on tue dans la rue, ceux qui tuent (des hommes, cependant) restent impunis (tout le monde s’en fout) on vaque – j’aime beaucoup cette dame assise cependant

après les grosses courses – grisonnent les cheveux, on s’assoit, on s’appuie, on répond au sms du petit ou de la fille – on peut encore espérer, c’est vrai, mais ça ne nous est de rien – pour cette peine-là j’ai lâché le rendez-vous au jardin de S2LF – quelques fleurs qui percent au mur de la ville

en forme de contre-don

il semble qu’on étouffe moins dehors – on va se préparer, on va partir – et cet objet, perdu

dans la boîte Jeanne et la garçon formidable (Olivier Ducastel et Jacques Martineau, 1998) (on ne pense qu’à ça – l’amour les corps enlacés la jouissance le plaisir – 20 ans avant le tout aussi attachant 120 battements par minutes (Robin Campillo, 2017) – une comédie musicale hommage à Jacques Demy (les couleurs, les seconds plans, les chansons douces que nous chantaient nos mamans) – et Virginie Ledoyen, libre peut-être, de tous les plans sans doute, de toutes les couleurs

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4 Comments

     » « faut arrêter de tout interdire parce que j’arrive plus à tout désobéir »  » Oh oui… parfaitement (et en outre devoir faire un pas en arrière parfois des opposants sans désavouer le but)

  • n’empêche tu nous as manqué

  • @brigitte celerier : sale temps hein… merci de passer

  • @caroline diaz : vous aussi… merci à toi