Pendant le weekend

B2TS Pyrénées 4 (2276)

 

 

 

quelques images – deux de la même corporation

un comédien qu’on aime mais qui attend le bus sur le boulevard (crois-je déceler) (il vit par là sur les hauteurs)

il disait il y a peu à la maison de la Poésie des mots et des textes de l’ami disparu Philippe Rahmy – voici un quarteron (sans le sens où ils sont peu nombreux)

graffé (ils sont trois mais j’aime assez le reflet sur le sol, la pluie – sur le boulevard aussi crois-je imaginer – et puis un autre, rue Dénoyez(j’en suis sûr)

chanteurs espagnols ou quelque chose ? je ne suis pas certain – mexicains? j’en sais rien – et enfin provisoire cette petite charmante « la plus belle pour aller danser » sans doute

sans le point, c’est dommage – mais parfois je vais trop vite – so sorry…

 

en face Sunshine (Istvan Szabo, 1999) un siècle (le vingtième) d’histoire hongroise – trois heures et les horreurs terreurs meurtres des régimes successifs (on ne parle pas d’aujourd’hui et de l’ordure (reçue mais rien n’a vraiment changé si tu veux mon avis)

au ciné Tàr (Todd Field, 2022) descente transclasse d’une cheffe d’orchestre paranoïaque (verbeux, trop long, surtout au début) (Cate Blanchett (magnifique) coupe Volpi (mémoire sinistre cependant que ce nom – tu me diras que ce festival a été créé parle fils de l’ordure, certes – et que celui de Cannes l’a été en réaction, sans doute, par Jean Zay…) meilleure actrice festival de Venise)

 

 

 

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2 Comments

    c’est peut être encore mieux, à mon humble avis, avec cette rapidité qui ajoute un peu de flou et de mystère

  • « Tar », tourbillon de la passion, le verbe et la chair, très beau… 😉