Pendant le weekend

2284 Mardi 28 Mars 2023

 

 

 

c’est une série (acte dix) – il se peut qu’on y paraisse – il y a réunion atelier paris du côté de répu – il se peut qu’on y aille – beaucoup de difficultés pourtant – lire regarder voir – dessert

en forme de pacman – autres images (manqué le passage du bulgare bleu) – détresse – ici en fleurs toujours fin mars

le type s’appelait Gérard (ça existe), il avait l’apparence du Etienne (je crois bien) des Amandiers (VBT, 2022) mais il était flic, vêtu en civil donc, il interrogeait à tout va – zéro confiance, puis je le retrouvai danse métro, le lendemain sûrement – il présentait une certaine douceur mais ce n’est pas mon genre (je suis comme dans la chanson « j’ai toujours préféré aux voisins mes voisines« ) – on arrivait à Nanterre (sûrement, au loin , la destination Citadines écrit en blanc sur fond bleu) – « vous y allez aussi ? mais vous n’étiez pas sur la liste » lui dis-je, il dit « oui oui »

ici un écho de Pinar Selek, qu’on n’oublie pas -comme on pense à Fariba.

au ciné Empire of light (Sam Mendes, 2022) (l’un des premiers rôles – la salle de cinéma – est assez bien tenu, les autres aussi d’ailleurs (on pense à Ken Loach qui aurait les moyens, à Ronald Laing ou Félix Guattari (ou cet italien dont j’ai oublié le nom – ça me reviendra : ça y est Franco Basiglia) mais aussi à Gabriel Byrne dont la sœur subit des électrochocs vers les mêmes années (les 70 et/ou 80 du siècle dernier) mais ne s’en tira pas à si bon compte, ou à Janet Frame) : aujourd’hui, on a plus recours à la chimie – de cette même manière que l’électronique a pris le pas sur la mécanique)
en face Rapt (Charles Crichton, 1952) attachant (Dirk Bogarde en entrée de premier rôle – le petit (Jon Whiteley) adorable)
dans la boite numérique Les Amandiers (Valeria Bruni-Tedesci, 2022) triste (très) (mais qui informe nettement sur notre époque où « se faire des amis » est la bouteille à l’encre des rézosocio (on devrait écrire rezosossio)  – rien que l’expression rapporte directement à ces relations de domination)

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6 Comments

    comprends pas grand chose (l’âge ?) mais j’aime ça (peut être à contre courant)

    les amandiers me méfie un peu (de toute façon perdu habitude cinéma) parce que j’aime les Amandiers (à vrai dire plutôt connu le site avec Jean Pierre Vincent, avant avais pas de sous pour théâtre) et que j’aime bien Valeria alors n’aimerais pas ne pas aimer le film (phrase laide mais presque à dessein, m’amuse)

  • @brigitte celerier : c’est trop crypté sans doute (le truc avec Gérard, c’est le rêve de cette nuit) -pour le reste il faut s’amuser oui – le film à Valéria n’est pas si mal mais sûrement (je suis assez puritain, comme on sait) pollué par les relations entretenues avec le premier rôle masculin (Étienne) (mais quelque chose des rapports que tissent entre eux (si ça restait dans le fantasme, ce serait mieux) les acteurs et les actrices et les metteur.es en scène)

  • c’est ce que j’avais cru comprendre (Valeria) mais il semble que ce soit en partie un hommage à un passé réel et ça va avec son style sensible

  • J’aime bien la formule, sur le site de « The Conversation », la formule concernant Pinar Selek : « la chercheuse recherchée ».

    Pour le reste, pas vu le film « Les Amandiers » et cet acteur (pas le mis en cause) au grand nez, qui en fait partout des tonnes, m’énerve trop.

  • @Dominique Hasselmann : tu parles du fils (et petit fils) de Maurice ? Si oui, il n’est (entre autres)(ex-mari de VBT) pas si mal…

  • @brigitte celerier : oui hommage – mais Valéria n’est pas non plus un perdreau de l’année (les évocations sont peut-être soulignées de gras mais elles ont quelque chose de vrai…)