B2TS Pyrénées 2 (2261)
B2TS, un feuilleton pendant le week-end – si tu préfères c’est une série – ça veut dire la même chose – par exemple aussi tu pourrais savoir que « pendantleweek-end » est une plateforme – si ça t’amuses de jouer sur les mots – ou un hub – OSEFC c’est vrai – si les images ici sont troubles, c’est que le nino fait le point sur le reflet – on voit bien l’autre côté de la rue, on voit moins les héros des images – le C de OSEFC réfère à complètement – il s’agit d’un acronyme comme on fait maintenant (COFM)
Voici
puis
je préfère le format carré – mais peu importe, je crois qu’il s’agit de deux ramoneurs – je peux me tromper, mais on ne les reconnaît guère – ici
je l’imagine du côté de Montceau (ou plutôt rue de l’Aqueduc, qu’est-ce t’en penses?) – mais nous sommes sur la rue des Pyrénées, sous le pont du cimetière –
chacun se vêt comme il l’entend – le pantalon trop court m’amuse un peu – j’aime les sourires des passants
on a quelque difficulté à savoir s’il s’agit d’un capitaine de pompier (lequel pleurait dans son casque, disait Alphonse que citait souvent mon père) (donc non,puisqu’il porte képi) gendarme alors… – les enfants qu’on reconnaît cependant
et on aime tant les couleurs – des invariants du photographe probablement – ici deux acteurs déjà vus dans le feuilleton
peut-être vers la rue Custine – ici une toute jeune fille entrotinettée croisée à Louis Blanc il me semble
oui, il y a la couleur, les enfants, les uniformes – et enfin des sportifs (semble-t-il) (tout au moins tatoués – quelle différence avec un uniforme ? je me perds en conjecture…)
avec mes excuses au point.
Bon dimanche
dans la boite numérique En attendant Bojangles (Régis Roinsard, 2021) (j’ai cessé au bout de dix minutes, j’avais mieux à faire) (le premier rôle féminin : à pleurer, d’une vulgarité… – comme elle a été couronnée d’un césar cette année-même pour un autre rôle où elle apparaît tout autant nue sans plus de raison sinon celle d’une beauté plastique surdéterminée (blonde et blanche et tellement fine et gracieuse), je n’en dit que peu ni ne la cite, sinon en étiquette) (Romain Duris : des tonnes – bah)
les variétés humaines… leur sourire, les goûter
L’uniforme pour enfants : Macron envisage (sa femme est en toute retournée) le Service national universel (sic) obligatoire pour les élèves de seconde. Un grand progrès vers l’embrigadement de « la jeunesse » ! 😉
Bojangles, le livre déjà m’était tombé des mains… j’admire ton éclectisme. Cette semaine ai réparé grosse lacune : Une séparation, magnifique
Votre remarque sur le pantalon trop court m’amène à me demander si la question moqueuse « tu as eu un feu de parquet ? » qu’on posait au temps du lycée à celles ou ceux qui en arborait un a toujours cours.
@L’employée aux écritures : ah oui, je me souviens (la question que je connaissais était un « feu de plancher ») – on a droit au pantacourt cependant – faudrait se renseigner, oui…
@caroline diaz : merci Caro (mais l’éclectisme est surtout dû à la grippe stuveux…) (j’ai rien trouvé de mieux…) :°))
@Dominique Hasselmann : la si chère Brigitte adore l’uniforme (y’a qu’à voir son deuxième mari, dans le genre vieux réac dans la tête). Welcome back !
@brigitte celerier : oui, il y a aussi ce caractère – merci à vous