B2TS Pyrénées (2236)

taleur on ira vers Opéra – hier ça a été arabe mais j’apprends que pour apprendre il faut être régulier – la quatre de l’atelier sans commentaire – tous les jours sans exception une demi-heure –  ici la continuation du feuilleton B2TS qui constitue (fort de plus de soixante billets quand même – je ne compte jamais cependant) (c’est quand on aime, comme disait monsieur cent mille volts – encore que ce soit fort marqué de ces temps-là et des turpitudes phallocrates du chanteur – chanson sous le lien cependant reprise par Olivia Ruiz) l’un des marronniers les plus assidus de ce carnet (mais en parler ainsi en dévalorise la tenue – inutile, les autres s’en chargent) (la vie est dure et cruelle, comme on sait) (avançons)

c’est sous un pont

ça n’y était pas en juillet 2017

mais de nos jours, on les trouve : les voici (rue des Pyrénées, Paris 20) – il y en a aussi de l’autre côté de la rue – ce sera pour les fois suivantes

elles viennent comme elles apparaissent au passant (et à sa consœur, la passante) (à laquelle on dédie, évidemment, ce billet)

pour quelques instants secrets

certaines ont déjà figuré ailleurs – il y en a une quarantaine ici, c’est sous un pont de cimetière, un lieu du 20 que j’aime assez

on y descend venant de la place Gambetta – ce sont des images qui datent de la fin du mois d’août

on ressent un peu la lumière d’été

je me souviens de Naples (cette merveille)

quelque chose comme un mariage ? (il me semble que la mairie du 3 apparaît en arrière plan – elles se ressemblent toutes (les mairies) – il me semble reconnaître Paris)

et pour finir ce bouquet magnifique de lin qui date de la même époque

et ces brisures de feuilles d’olivier (en souvenir de vous)

la suite du feuilleton dans les jours qui viennent