2226 Samedi 28 Janvier 2023

complet écœurement devant les faits de Memphis – l’illustration de la véritable nature du fascisme : le racisme – les choses arrivent en France dix ans après les états unis a-t-on coutume de dire : on pourra en parler à l’ingénieur franco-espagnol photographe amateur de 26 ans grièvement blessé (émasculé) par la police lors de la manifestation contre la « réforme des retraites » à Paris le 19 janvier dernier – état policier : mais qui est à la tête de la police ? – démocratie – la belle vie – laisse, va – sans amalgame hein – avance – je fatigue, c’est du lourd – la mort des proches (pensée vers coco) – images et chansons

on commence à se croire dans ce film de Sir Alfred (où, d’ailleurs – rappelons-le – Tippi a failli perdre un œil (sans compter le reste des agissements et des turpitudes exercées par »le maître du suspens ») – perdre un œil tu dis ? – oui – (laisse je te dis – oui) (image (wtf) copyright :Willi Schneider/REX Shu/SIPA – festival de Cannes 1963))

ici même hier matin

25 cormorans sur leur arbre

mais c’était une belle journée, grise sans doute – ici le point de vue adopté en 87 pour compter les entrants du parc

aller dans les rues ici les mauvaises gymnastiques du photographe (la jeune femme à peine vêtue, le froid – on ne voit que peu les deux assistantes qui portent les manteaux, à gauche, dans le renfoncement

les courses, marcher encore pas mal et écouter les murs de la rue (parole qui aurait très bien pu entrer dans la demande du collectif « Villes en Voix »)

on lit mal, mais est pochoirdisé en blanc « 30 jours de compétitions = 8 500 morts »

au marché des crevettes et des légumes pour ce soir – l’après midi rendez-vous tiers-livresque au Café Joyeux (la belle vie) (Catherine S. et son Carlo)

courir ensuite pour le ciné (merveille formidable)

au ciné L’envol (Pietro Marcello, 2022) (on avait aimé La bocca del lupo du même (2009) moins Bella e perduta (2015) mais enfin là une vrai réussite (magnifique musique de Gabriel Yared, quand même – le réalisateur est au cadre : formidable – l’image (assez affectée) mais tant pis)