2225 Vendredi 27 Janvier 2023
de la complaisance
des canards
je suis passé sur le pont Neuf (il m’a suffi d’y passer chantait le poète) marche sous la brume – beaucoup aimé les limousines garées vers le siège de l’ordure – on écrit sur les gouttières
écrire sur les murs – marcher j’ai rallié le Sébasto par la rue Saint-Denis (elle s’est assagie depuis une trentaine d’années, la rue Blondel n’est plus ce qu’elle était – je me souviens des enquêtes (poubelles) dans ces immeubles de meublés sans le moindre concierge ou la plus effacée pipelette) marcher encore
pas de farce, pas de cotillons – un passage en autobus
gare de l’Est en panne – puis à pied de la Chapelle
à Louis Blanc (ça monte encore)
la promotion est d’envergure – des centaines d’appartement et de bureaux – ici une capture robotique qui en dévoile certains prolégomènes
à la maison boulot ménage lessive – le soir, découverte dans le coin du Visa
magnifiques dessins (je vais retrouver, il y avait là vers la mi-mai de l’année dernière, une exposition de l’artiste)
expédié immédiatement pour aider au deuil (en séminaire, l’émission de radio d’Orson Welles, diffusée le 30 octobre 1938)
ah oui belle calligraphie finale (heureusement que vous êtes là vous et le chasse-clou pour me donner des petites fenêtres)
@brigitte celerier : serviteur, chère amie – merci à vous