Pendant le weekend

2220 Dimanche 22 Janvier 2023

 

 

sortie en images pour l’occasion

on a donc été là

il m’avait semblé comprendre que le lieu abritait une école de Luc Besson (sinistre personnage) (ai-je entendu sa faillite ? je ne sais plus je n’aime pas les bruits  #me too qui courent à son sujet) (je n’aime pas non plus son cinéma tu me diras – jte dirai d’accord) l’école Louis Lumière s’y est donc installée (je la croyais à Brie-sur Marne ou quelque chose) (remettre quelques pendules à l’heure ? probablement – je manque de temps) (reçu trois nouvelles de AT à lire; l’arabe à écouter et apprendre lire et écrire; les enfants les repas les courses – la lecture – ça va venir) (le texte de vœux pour « Les villes en voix » accepté « la ville parolante ») et donc ici le professeur de son (il s’est présenté, ainsi que la dame suivante, mais je n’ai pas pris de notes, avec mes excuses mais aussi mes profonds remerciements)

suivi de l’organisatrice de l’événement

présentant à son tour la réalisatrice du montage sonore à écouter ensemble

Amandine Casadamont

laquelle fait partie du collectif Musée TRANsitoire (qui exposait dans l’ancien garage où j’entretenais ma voiture – une pensée vers les deux frères T. et leur père à l’audi verte- ce que c’est devenu est à pleurer…) – on écouta donc collectivement un montage sonore assez ouvragé (manquant peut-être de musique, sans doute trop long, beaucoup de choses drôles intéressantes historiques) dont l’objet était un peu de science-fiction

datant des années soixante – beaucoup de surveillances – la découverte de la Lune, de Mars, les élucubrations allant des questions poisseuses d’un Jacques Chancel à celles, divinatoires et mystiques, d’un autre Jacques, Bergier celui-là, et bien d’autres (je tiens à disposition la composition de ce programme) (peu de femmes d’ailleurs…)

merci encore – quelques fleurs en sortant (pour remercier)

mais aussi les constructions

en ces lieux des villages olympiques (le bâtiment va très bien, merci)

(pardon pour le point…) voir ce déchaînement me fait honte (en écho aux paroles d’Armand Gatti entendues dans le montage) on croise en rond à droite le siège de l’électricité (immense et bouffi) et cette tour laide en réfection (sans doute écologiquement moins perméable) (déjà croisée en septembre lors de la plus grande table du monde)

on a marché mais il faisait froid – métro treize(en panne on allait porte de Clichy d’une rame à l’autre – le délire complet – les transports des jeux dans toute leur splendeur – il faudra s’en aller je le crains durant les mois de juillet et août vingt-quatre – un autre confinement…) on passa chez Reine acheter du tissu (je ne suis pas allé vers la vendeuse, toute de jaune vêtue, magnifique, qui aime tant les couleurs) cette image en dédicace sans doute

 

 

dans la boite À propos de Joan (Laurent Larivière, 2022) catastrophique (Isabelle Huppert s’y croit mais elle n’y est pas du tout) (en tout cas pas dirigée – elle m’agace souverainement comme il se doit pour une reine du cinéma serait-il français en diable – en langage courant elle se la pète) (Swann Arlaud n’est pas mal en fantôme)

 

Bon dimanche

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4 Comments

    je préfère l’idée de ce truc (sas pas comment l’appeler) auquel avez assisté (aurais été passionnée je crois) que le constat qu’en effet Isabelle Huppert(tant de beaux souvenirs, surtout théâtraux mais pas que) se la pète souvent
    et parlez pas de froid : mon idée fixe aujourd’hui où vais rentrer dans la nuit fraiche (avec l’idée éventuellement de devoir renvoyer un éventuel arrivant à Rosmerta… bon pour une nuit on peut héberger dans un coin mais avec départ promis)

  • Lumière et Besson : drôle de drame !

    Belle dernière photo… :-^)

  • @brigitte celerier : intitulé « expérience d’écoute collective »… hum – mais oui c’était bien – je vais demander si ça peut s’écouter quelque part, je vous tiens au courant -merci à vous (couvrez-vous)

  • @Dominique Hasselmann : merci à toi, et bonne semaine