2061 Jeudi 18 Août 2022
ce n’est pas que ce soit décourageant (le courage de vivre tsais) mais parfois certains jours rien ne vient – on lit – Musée Marilyn – j’ai vu que mon titi publie aussi chez Fayard (il y a comme une espèce de parallèle chez ces deux-là, une admiration réciproque) (les deux sont de l’AiR Nu tu me diras) en tout cas, retour des disques au loueur, passant par les buttes Chaumont
la rue Rebéval en travaux (immeuble du coin du passage où les persiennes sont montées)
passant par le faubourg, le parrain 2 au poste de contrôle
un nouveau restaurant (cette vulgarité, la plante au dessus de l’entrée, la clientèle à l’avenant – la pkaila à 15 euros quand même…)
(c’est un plat tunisien à base d’épinards frits jusqu’au carbone augmentés d’haricots blancs et d’une saucisse (en général) nommée osbana (ça ne rend rien en français) ma grand-mère maternelle (et peut-être bien la paternelle aussi) la cuisinait – délicieux) le mur faubourg des Goncourt propre sur lui
OSEFUP – plus tard dans la journée un appel de l’artisan qui en a presque fini du plako (départ taleur bandes augmentées d’enduits et cetera) après un texto fleuri (j’adore), un appel au sanaryote et au mazériote qui déménage (tout le monde s’est tiré ma parole)
le soir ciné au Louxor (on devait être six dans la salle) retour à la nuit (misère vers dix heures moins le quart…)
au ciné donc The Border (la frontière- Police frontière en français) (Tony Richardson, 1982) happy end (Jack Nicholson en flic intègre dans un univers corrompu) (bah) on se faisait la réflexion que tournée de nos jours une telle histoire vieille comme le monde et l’immigration aurait mal fini – c’est que les esprits sont préparés pour des temps à-venir difficiles par le cinéma – pour preuve sans doute l’engouement pour celui-ci dans les années de guerre) (avec le Notturno d’hier, les turpitudes du genre humain et des frontières imbéciles)
et ils peuvent avoir admiration réciproque !
L’acteur Nicholson toujours deux fois… (déjà vu il y a longtemps, je l’ai même en DVD)… 🙂
@Dominique Hasselmann :je vois que tu connais bien ton facteur…(merci à toi)
@brigitte celerier : certainement – merci à vous