2060 Mercredi 17 Août 2022

la nuit envahit le matin et le jour – hier zéro sur la ligne : le réparateur de nino est parti en vacances; le don du sang ne m’a pas élu (il semble que les médicaments quotidiens contre le cholestérol disqualifient le prétendant), les personnes qui accueillent étaient charmantes au demeurant (je suis resté un moment en salle d’attente, autant de filles que de garçons défilent, des jeunes gens – la trentaine peut-être), répondu à une enquête sur les insectes piqueurs (OSEFU2P)*, traitée et saisie par lecture optique – l’hôpital Saint-Louis et toujours à la même place, le monument à B2TS (ainsi que celui qui colle aux murs de la librairie orange du canal) qui m’est apparu trop important pour l’inventorier

passant par le parc sans le cœur ni l’occasion de faire des images – en lecture le Musée Marilyn de l’amie Anne Savelli (aspect genré magnifiquement écrit – j’adore) (on chroniquera le 23 je suppose – jour de la « sortie » en librairie – on espère et on croit au tabac) – il faudra que je me remette aux autres travaux (l’index Mimmo entre autres) (les commentaires des P/E* de Lulu entamés et la maison[s]témoin – des nouvelles de Christine J. qui va bien mais n’a le temps de rien) et passer par la rue des Pyrénées (expo B2TS) – ce n’est pas que je fatigue (j’ai l’âge de mes artères) mais tout ça me paraît bien illusoire – Retour sur Carthage quarante jours (sans nouvelle de Carlos Guyancourt – tandis que le peroxydé United Kingdom est en vacances paraît-il – c’est sans image)
En ville trop d’eau (au contraire de la neige, l’eau ne donne rien à l’image)

en dvd Notturno (Gianfranco Rosi, 2020) la guerre aux frontières irako-kurdo-syrio-libanaise (une terreur magnifiquement filmée…) (on se souvient du Fuoccoamare (2016) du même réalisateur)

* (OSEFU2P : on s’en fout un petit peu)