2047 Jeudi 4 Août 2022

il suffit de tourner un peu le dos et la nuit reprend le dessus (o temps suspend ton vol : tu parles !) – on va vers l’hiver punaize – on ne s’en fout pas (onzefp) – il fait nuit à cinq et demi merde – on avance quand même (de retour pour deux ou trois billets puis le blanc de la profonde campagne (travail coupe tonte et le bazar) (219 images d’un côté plus 102 de l’autre : quelques carnets sûrement) – téléphone en rideau depuis quelques jours (mort, ne veut plus s’allumer mais la batterie restera chargée quelque temps – « elle est un peu gonflée »a fait le tenancier de Belletech one

– « celui-là oui le même genre » cent vingt euros – vendu immédiatement garantie six mois clavier bloqué en qwerty dlachiotte enfin la merde) – le temps n’a pas cessé sauf pour V. cette charmante jeune fille, qui l’a aidé dans sa fuite et l’a condamné (hier  ses obsèques – je n’y fus point mais mon humeur était massacrante) (pardon demandé, comme dirait l’amie BC) (cette terreur que le monde) – deux images actuelles quand même : l’une de mes héroïnes, en costume clair, ceinte de turquoise (assortie au max et au t-shirt – on dit caraco ? ah non)

(une autre serait AOC) et cette autre où elle apparaît plus telle qu’en elle-même (cette esthétique de nos jours, en ville -on avait droit à lamême pour Carlos Guyancourt quand il était normalement en prison au Japon avant sa fuite)

on a le droit d’encore espérer en une paix, soft et peut-être fausse (non troublée d’atomique) – mais la marche en avant du monde prend ouvertement cette direction (cette honte quand trois milliards au bas mot d’individus crèvent de faim…) – passant par le faubourg cette image du parrain

car les affaires continuent – et enfin ce magnifique cadeau

arrivé par la poste (sans doute en ligne droite de S2LF) (merci !) (sur la planche : les 35 à 40 (et lectures peut-être) (relecture 17); les commentaires des poèmes à Lulu deuch’nord; le reste) – fait beau jour mais couvert