2173 samedi 21 mai 2022

pour mémoire (entre cinq quarante cinq et sept) dans le rêve j’arrive chez D&A sans prévenir – l’appartement est le même sauf qu’il y a une pièce de plus où il y a plusieurs jeunes enfants qui s’ébattent – trois plus un poupon plastique – je vais aux toilettes, là sur le sol une espèce de traînée que je nettoie et qui reste – quand je sors beaucoup de monde que je salue, qu’on me présente (« tiens dis-je tu ressembles à Henri ») j’embrasse

j’ai éteins(t) la lumière

je me suis fait un café – glané ceci (peut-être bien Arnaud Maïsetti)

le texte paru Territoires de passage (en tellement bonne compagnie) dans les villes en voix qui est une belle expérience – je vaque, je vais je tente – il y a quelque chose de coupant (les impôts la moquette la retraite) – l’appel téléphonique de E. qui m’a fait souvenir de celui du 30 octobre quinze au soir alors effondrement – puis oubli sans refoulement – avancer sans doute –

(ça tourne à l’obsession – osef : Gian Maria Volonté dans le rôle –Il caso Moro, Guiseppe Ferrara, 1986) – l’avarie du blog a coupé l’élan peut-être ? je retrouve ça

et ça

et ça

blow up –  revoir Mernoire – revoir Mimmo Lucano – continuer et y croire

au ciné Frère et sœur (Arnaud Desplechin, 2022) (j’ai cru croire voir qu’il était en compétition à Cannes – sans vérifier – c’est ça, on attend Tori et Lokita (Jean-Pierre et Luc Dardenne,2022)) je crois qu’il y en a trop dans le scénario mais Desplechin direction d’acteurs parfaite (après, faut aimer Marion Cotillard et Melvil Poupaud, sinon c’est pas la peine) (image : Irina Lubtchanski business as usual) (et citation de All about Eve (Jo Mankiewicz, 1950) entre autres (j’ai cru voir aussi l’accident de camion de L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux (Robert Redford, 1998))