2151 Samedi 30 Avril 2022

c’est parce que j’avais aperçu cette image chez his father que je suis allé voir l’expo (elle ferme ce soir, c’est con – elle est gratuite : cette gratuité qu’on a tenté de défendre des années durant dans ce parc) intitulée cent pour cent – on y fut il y a quelques années (je ne retrouve pas dans les billets), je crois que c’est le sixième temps – c’est tous les ans, ça regroupe des tentatives des élèves d’écoles d’art – et de design – et comme LPB est le régional de l’étape (ici une vidéo qui vous en informera) (et vous apprendra si ce n’est déjà fait le sens de paréidolie) (comme on dirait j’aime beaucoup ce que vous faites – je me souviens des tickets de métro… je vois que les choses avancent hein) (chouette)

il y a bien un cartel mais je l’ai manqué

(traduis-je ?) : diplômé 2021 / Habitat habité / sensible aux espaces atypiques, Léo-Paul Barbaut est attiré par les terrains, espaces les friches et les chantiers lieux de tous les possibles où la magie opère lorsqu’on parvient à y pénétrer. Inspiré (sic) par ces esthétiques, l’installation présente un cabinet éclectique d’utopies personnelles, avec une diversité de styles architecturaux, le tout logé dans un BonHomme géant :œuvre d’art totale, ce personnage géométrique fait corps avec les différents niveaux qui composent cette étagère humaine » (c’était peut-être pas la peine) (cette wtf prose m’indisprose) ici deux utopies éclectiques personnelles issues de l’œuvre d’art total

(il y a plus pour l’observateur rédacteur quelque chose qui se rapproche de la maison mais enfin

notamment celle du 11 rue Crubellier – Paris 17 – mais chacun voit midi à a porte) la plupart des œuvres se disposent dans l’ombre – c’est assez beau – c’est un espace magnifique où rodent les âmes des bêtes promises, de l’autre côté du canal, au boucher (ici on les vendait) (c’est sans allégorie) – il s’y trouve une vache noire (sans image, dommage) il s’y trouve aussi ceci (magnifique)

9 panneaux de tissus de science fiction – formidable

un éclairage fantastique – au mur des espèce de ponchos encapuchés d’or et de soie – merveilleux –  l’image est mal fichue mais donne l’impression quand même

je n’ai pas vraiment lu le cartel (je ne m’en souviens plus) mais le voici (aussi ici)

(pourquoi cette enflure ?)
ailleurs cette merveille (presque) absolue de la technologie du siècle dernier (la « déconstruction » imbécile de nos architectes mise en projet) composée de

et de

pour aboutir à

avoue – c’est édifiant et dû au

cet avion (sans attribution, désolé)

et puis des cartes postales dues à

(on voit rien désolé aussi) d’un jeu desquelles je me suis emparé (elles étaient à disposition)

sa maison, sa chambre en grandeur nature – le confinement numéro 1 – on travaille on travaille…

A cette si belle jeunesse : bravo.

au cinéma L’employé et le patron (Manuel Nieto Zas, 2021) assez subtil pourtant (générique de début constitué de 17 panneaux – parfois animés – présentant les sociétés de production et basta : le capitalisme explicite – ça c’est le cinéma) (assez machiste : je veux dire tout le monde se tient et reste à la place qu’on lui a indiquée – le « on » étant le pouvoir patriarcal) (la première parenthèse induisant la seconde) vient d’Uruguay limite Brésil (la lutte des classes à cheval – parfois peu crédible quand même) pas si mal non plus – avec Nahuel Pérez Biscayat (acteur argentin) qu’on avait vu (vachement bien d’ailleurs) dans le 120 battements par minute (Robin Campillo,2016)