2108 Samedi 19 Mars 2022
(premier jour de captivité d’Aldo – il y a quarante quatre ans d’ici) (il se trouve que ce sera l’objet du écrire|film cinq si j’y parviens) dans un autre compartiment du jeu (au marché je me suis fourvoyé en achetant une darne de congre – faut-y être congre quand même) MCdB narre une des frasques de Daniel Toscan du Plantier (alors directeur général de Gaumont – dans les mêmes années) il prit en location le palazzo Dario (celui aux trois médaillons)
pour y donner une petite fête durant la Regata storica de cette année-là (83 : la quarantième mostra) (le premier dimanche de septembre, tous les ans, sur le grand canal se déroulent défilés joutes etc.) (en 20 et 21 du siècle suivant, je crois bien que ça a été annulé – on s’en fout) en travaux
depuis fort longtemps le truc (le palais, palazzo Dario) fait son pisan et penche dangereusement – non loin de la fondation (et de la dépouille des chiens de) la Peggy Gugenheim (à droite) et de la Salute – gauche cadre, le dome qu’on aperçoit c’est elle – plus loin à peine distinguée la douane à (depuis 2009) wtf pinault) (non mais c’est toujours à peu près la même chose)
le DTdP y réunit ce qui comptait dans le cinéma (et plus dure sera sa chute…) – ces histoire vénitiennes amusent : sur la façade de la baraque est gravé un « urbis genio loannes darius » (Darius, génie de la ville)
dont l’anagramme (tiens-toi bien) indique (à peu près) « sub ruina insidiosa genero » (il s’effondrera en une ruine perfide : c’est valable pour le palais – qu’on restaure, t’inquiète (ainsi s’effacera la superstition…) et pour le Toscan (du Plantier sans aucun doute) malheureux mais si mégalo…) (il paraîtrait même que Ingmar Bergman qui était là (à Toscan la responsabilité du four de L’œuf du serpent (1977) qu’il n’a pas daigné faire doubler…) a indiqué à quelques élus qu’il ne se sentait pas bien dans ce palais…) – enfin tout ça pour dire que la ville reparaît parfois dans les radars
au cinéma louxor (trop de pub punaize) Petite nature (Samuel Theis, 2019) (paraît qu’il a pas pu sortir en son temps à cause de ce que tu sais) attachant (assez autobio raconte le réal) (associé à deux autres – Marie Amachoukeli et Claire Burger – il avait déjà réalisé Party Girl il y a cinq ou six ans – non en 13)
merci (et belle idée pour le 5 !… puisque suis un peu plus sereine devrais chercher une idée – pour le moment ne me vient pas ou idées à obstacles)
Si, grâce à Du Plantier, on peut voir quelques vues vénitiennes, c’est toujours bien. Bizarre que l’affaire de l’assassinat de sa femme n’ait toujours pas été « solutionnée »… un « cold case » en instance – ou un film en préparation ?… 🙂
@brigitte celerier: merci à vous (vous m’encouragez) (merci encore)
@Dominique Hasselmann : je dois dire (malgré tout) que le du Plantier en question m’était parfaitement antipathique, malgré la tragédie irlandaise qu’il subît… (enfin, qu’il repose en paix)