Carnet de Voyage(s) 123bis
il y a là un musée de la mer – intitulé musée de Fécamp, Les Pêcheries – anciennement musée des Terre-Neuvas si j’ai bonne mémoire, installé dans un bâtiment de plain-pied, face à la mer – on l’a changé d’emplacement : le site est majestueux, se tient dans une ancienne conserverie, immense sur le port – on ne voit que lui – on y accède parle où on veut mais surtout par un belvédère omnidirectionnel
l’esthétique c’est comme tout : parfaitement relatif parfaitement subjectif – pour ma part je ne trouve pas ça très heureux mais enfin –
(entrée 7 euros) on peut delà-haut observer l’entièreté de la ville – une espèce de hune – (la même chose à Gênes, en plus détaillé,peut-être) magnifique
deux spécimen de faïence (#396) – c’est un peu comme tout – on peut ne pas apprécier – ouvertures vers le port
lepetit pont rouge qu’on aperçoit droite cadre marque l’aboutissement d’un câble qui vient, d’une quinzaine de kilomètres au large, apporter en ville de l’électricité produite par une ferme(comme on dit) d’éoliennes – cette construction obligea la condamnation d’une des estacades -passage de bois – on ne voit pas sur les images j’ai l’impression (j’ai pieusement décadré) – vers l’est,la ville le bassin Bérigny dit la carte
en bas, ces tables de couleur stationne devant la vente de poissons – la criée – comble pour le réveillon
le reste,nord ouest – on aperçoit l’estacade (on n’a pas le droit de l’emprunter – elle est fermée – il y a là des pêcheurs mais ça ne mordait pas
et puis l’immensité de la mer évidemment
et des ciels
on avait peu de temps, quelques toiles marines seulement restent à l’image
rappellent sans doute l’enfance (trains électriques quelque chose de cet ordre)
le balsa des modèles réduits
un truc de garçon sans doute (jamais trop accroché cependant)
les cartels ne sont pas dans l’ordre mais c’est un jeu
si ça se trouve ça ne correspond pas – je suis passé vite – on descend, on redescend encore- on passe pour aller à nouveau voir et respirer la mer
ou alors il en manque – on sort
la beauté des choses
un dégradé – rien de spécial – la mer
la promenade, la jetée
le vent
les jeux d’enfant
c’est à peu près tout – aller chercher le sac, vite, pas trop, remplir la gourde, mais vite – marcher dans la rue des Sables, attraper un sandwich -marcher, laisser derrière soi les mouettes
(en spécial-dédicace à celles du canal – et du Chasse-Clou) aller vers la gare
et s’en revenir à Babylone
quelques heures, cet hiver
en ville & cinéma : Manaus, un billet sur le film magnifique de MayaDa-Rin, La fièvre (2019)
MERCI (oui pas très heureux le bâtiment, mais fait « port » – et les portraits des bateaux et la mer et la beauté des choses (oui beau ce mur) etc… connais pas
Belle visite : les villes portuaires sont toutes des havres…
Bien aimé la beauté « cardinale » du bateau Maria !
La mer encourage la dépense photographique (mais la pellicule « numérique » des vagues ne pèse plus comme le prix des argentiques) – pour le plus grand plaisir esthétique.
(Merci pour la dédicace « martinienne » !)