Pendant le weekend

2053 Dimanche 23 Janvier 2022

 

deux spécimens, l’un à étiquette

le suivant la respectant

continûment Au dessous du volcan et son changement de point de vue au chapitre deux – et de genre – marche (tristes nouvelles de H. qui se bat comme un diable) – courses – tentative de reprise de Norma mais non correspondance votive – café TEC

valse hésitation entre Bojangles (niet) (ça peut attendre), (attention : traductions) d’autres comme L’allée du cauchemar (pfff) ou La boite de mémoire (non plus), le roumano-tchéquo-croate Manque de chance ou porno loufoque (ou encore de ouf) mauvaise heure (peut-être aujourd’hui : c’est le premier film depuis la triste décrépitude de cette planète dans  sa phobie maniaque et désespérée qu’elle même a provoquée où on aperçoit l’espèce elle-même masquée (en bande-annonce) : il a fallu près de deux ans au cinéma pour réagir… – bah) et la rétrospective en plus de cent films d’une cinématographie africaine – les Halles à sept heures du soir un samedi : envie de fuir – quelle erreur et quelle horreur… – suite et fin de la potée au chou

 

au forum des images (la place à 7 euros, cette honte encore – non mais tu comprends qu’il faut s’aligner sur la cinémathèque – cette triple honte – je me souviens de la place langloisienne à un franc de l’avenue Albert de Mun) (en 74-75) Nahla (Farouk Beloufa) (sans montage, sans raccord, un scénario en or et acier gâché piétiné mais qu’y a-t-il de plus beau que la musique arabe ?)

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2 Comments

    reste à rêver de ce qu’on ne peut aller voir
    et à ne pas trop se laisser plomber par ce que nous avons provoqué même involontairement par le seul fait d’être l’un des humains
    en tentant d’être dignes des bons côtés

    (je tente misérablement de nous réconforter – sourire)

  • @brigitte celerier :j’aurais enlevé le « misérablement » moi – merci du réconfort – et oui, on verra :°)) bon dimanche à vous