2046 Dimanche 16 Janvier 2021
faisait beau, j’ai l’impression – et c’est quand même loin – de l’autre côté du fleuve – mais on y fut quand même (l’exposition se termine ce soir je crois bien) (c’est ça) on entre on tombe direct sur
cadrages mouvements lumières et couleurs, tout y est (sauf le son) – notamment la classe sociale des personnages – sauf le point (mais ça c’est aussi moi)
je doute d’y voir clair (la vue baisse) (on craint de marcher sur les trottoirs) (on avance en chantant et en claquant dans ses mains, c’est vrai aussi) (ces jours-ci c’est cette chanson) l’expo décrit la nature, le corps, l’histoire, peut-être autre chose pour que le cinéma devienne, dans sa jeunesse, un art légitime – OSEF un ptit peu je reconnais – il y a des films d’Alice Guy comme des Lumière – des tableaux aussi (Camille Pissaro j’adore) (sans point)
m’était parvenu par sms des nouvelles de A. (qui va mieux) en visite au Jacquemart-André
la place du théâtre – français je crois bien – il y a bien longtemps que j’ai cessé de croire que ma culture n’était pas emplie de lacunes (je lis cependant le petit opus de Sandra Lucbert (je l’aime bien) « Le ministère des contes publics » (c’est chez Verdier) où commence un préfet son intervention ou quelqu’un d’autre de ce groupe ou catégorie par « il y a des trous dans la raquette » pour justifier la fermeture d’une maternité comme on aime à faire de nos jours – le truc de la sécurité sociale est mort – et ils en sont fiers et se rengorgent – ce sera le tour de l’assurance vieillesse juste après (pour l’université, c’est en cours) – il s’agit de notre monde (un.e ministre (naissance en 73, 48 piges) accusée de harcèlement (spéciale ressources humaines : formidable) – bruits de canalisations ? peut-être) – un champion du monde qui ment éhontément – des prétendants à la pelle – les turpitudes – il vaut mieux tenter de ne voir que la beauté des choses –
de la retenir
(copain du Gustave lis-je) ces images merveilleuses
pour s’apaiser un peu
en ressortant (le monde commençait à arriver, il était deux heures et quart) le ciel traduit l’état des choses (des tableaux admirés, aucun de femme…)
on en pleurerait – en face, dans les beiges
hier, il faisait quand même beau
en maison[s]témoin, un épisode (virtuel) des carnets de voyages
Ben alors, chez Caillebotte, le parquet avait été démonté ?
Beau tableau final !!! 🙂
c’est bien qu’on découvre que Caillebotte ce n’était pas uniquement les parquets et l’aide financière aux peintres moins riches que lui
et qu’on en profite pour voir un peu plus Pissaro (l’aime aussi) et même de Nittis (que j’aime moins)
oui belle image finale en parfait accord
@Dominique Hasselmann : merci!
@brigitte celerier :une bien belle expo… merci à vous