2040 Lundi 10 Janvier 2021
ici un entrefilet en deux temps, qui date du 6 décembre dernier, publié dans l’Humanité
j’espère qu’on arrive à lire (on ne peut pas dire qu’on en ait entendu parler à la radio ou ailleurs tellement)
je vais peut-être cesser de compter les jours (deux mille quarante quand même) depuis que cette loi a été promulguée (le droit du travail en France est en loque) (on a encore le droit d’espérer)… Il y a eu aussi cet article du Canard enchaîné, je les pose là pour en garder la trace
qui sont les escrocs, à ton idée ? « Tout ce qu’il y a de légal » dit l’article. La loi donc nous protège…
Complètement dégoûté (notre naïveté n’a d’égale que notre attitude moutonnière – je suis le dernier à sortir dans la rue, je le reconnais volontiers, je suis un froussard mais je ne m’en vante que peu – je suis aussi un vieil homme – je me souviens parfaitement de ce « la liberté ou la mort » pourtant…)
Ici en voilà un de content (du côté de Toulon)
et cet autre qui observe
il s’agit du Edgar du film Si le vent tombe magnifique évocation dont on a chroniqué le déroulement ici (Nora Martirosyan, 2020)
au ciné extra Mes frères et moi (Yohan Manca, 2021) quatre frères (parfaits), une chanteuse lyrique (sublime) un été au bord de la mer – formidable (ici le héros se prénomme Nour, et bizarrement, ainsi que l’Edgar du vent qui tombe, il est porteur d’eau – peu de chance que les scénaristes se soient concertés sur la topique de Cosette qu’on reconnaît peut-être… plus ici, que là-bas)
Le Code du travail ne fait plus que dix pages (grâce à Muriel Pénible & Co), c’est pour épargner un poids inutile aux chômeurs.
Sur une autre photo Google, que tu n’as pas consultée, on peut voir le pape François sortir de l’auto-école de la Mitre (conduire une « papa mobile » demande des compétences particulières)…
« Mes Frères et moi », sans doute à voir ! 🙂
@Dominique Hasselmann : le visage de ce François Premier était flouté je crois bien… (et pour le film,oui,je confirme)
le plus beau (ou plutôt le pire) est que cette loi selon la formule de l’antithèse reprise par Macron s’intitulait « loi de maintien dans l’emploi » ou à peu près
@brigitte celerier : ce système est très (peut-être trop) fort… gardons espoir (merci de passer)