2010 Samedi 11 Décembre 2021
complètement à sec – sur toute la ligne – repris le TAO (47) : souvent l’inanité de toutes choses l’emporte et je reste prostré, attendant avec patiences – j’écoute de la musique peut-être celle-ci magnifique indiquée par Françoise R. – je ne cherche rien, mais c’est sans désir, sans espoir sans perspective – marcher longuement
la misère dans les rues – je m’accroche, sans images – le rendez-vous était à la librairie la Terrasse de Gutenberg – l’imprimeur de la rue Emilio Castelar (un des héros de la révolution espagnole de 1868 – connais pas) pour honorer Philippe Aigrain- je m’en suis souvenu, arrivé en retard,au sous-sol
une place assise sur un banc
écoutant la lecture de quelques passages de Sœur(s) – la voix sensible de Mireille – je me suis souvenu des loueurs des Aigrain à Saint-Mammès (sept sept) (épousant Loing et Seine) – une résidence en frontières – on a applaudi, et sans me présenter à personne, je suis parti –
(le bain nostalgique – cette espèce de timidité maladive – souvenirs tristesses alors que quelle plus belle fin pourrait être donnée – ou prise – ou accueillie ? – sans doute une raison de mon mutisme – marcher encore) mais je pensais à ce bouquet cependant (la photo datait de quelques heures)
merci pour l’écho de la soirée, même si moi le connaissais peu, juste par quelques poèmes, l’écoute d’auditions à l’assemblée pour le numérique, sa ferme retenue et son sourire et la civilité ou davantage d’échanges de mails pour un vase communicant…
merci pour la musique que, oui j’aime et pour les fleurs – à part ça je partage assez la phrase de début
Je l’ai vu une seule fois lors d’une réunion….
J’allais souvent sur son blog.
@brigitte celerier et Dominique Hasselmann : c’était, en quelque sorte, un des bienfaiteurs de l’AiR Nu – il nous a beaucoup aidé, sans trop le montrer car telle était sa manière. Un type extra… (merci à vous de passer, en son souvenir)