1975 Samedi 6 Novembre 2021

un entrefilet dans le canard indique qu’un certain nombre de millions de dollars (235 si je me souviens) vont être versés à la firme pour l’aider à rétablir ses comptes(par des assureurs, lesquels prendront ainsi en charge les défaillances d’administrateurs insuffisamment regardant sur la sécurité des avions en l’occurrence des sept-cent-trente-sept max, dont deux se sont crashés en 2018 (189 morts…) et 2019 (157 morts) – terreur chez les avionneurs – puis mises au repos pour pandémie –  cette image illustre l’article

Grounded Boeing 737 MAX aircraft are seen parked at Boeing facilities at Grant County International Airport in Moses Lake, Washington, U.S. November 17, 2020. REUTERS/Lindsey Wasson

comme je suis curieux,je suis allé voir un peu sur l’aéroport (ça se trouve à l’est de Seattle) : il y avait ça

d’un côté des deux pistes qui le constituent, et ça de l’autre

on n’a pas tellement cessé de construire ces avions-là malgré tout (des défaillances, le mur du climat dans lequel ils nous entraînent directement : non, ça ne suffira pas – tu te souviens, « le monde d’après » ? cette bonne blague) – l’industrie, voilà tout : soyons rassurés, des personnes plus habituées aux avions ont été nommées pour surveiller de plus près ces productions-là.
Vu (indiqué par Simone W.) (merci) le documentaire de Off Investigation (nouvel organe d’information du genre de blast) qui traite du cas du secrétaire général de l’Elysée (lui s’occupe plus des bateaux de la compagnie MSC où il a, pauvre chou, des intérêts – du temps de son passage dans cette boite, il ne touchait, comme administrateur d’icelle, que 28ke/mois  – non mais ça va bien) – l’industrie, voilà tout
additionné à l’ami Carlos Guyancourt (encore au Liban – pauvre garçon) pour les autos on a un joli panorama de la pègre des mœurs industrielles, non ?

sinon l’ordure a pris un an ferme (bracelet comme nano 1) et deux avec suris : il a fait appel – espérons que la sentence sera augmentée.

un épisode des Sopranos en face (marrant mais huit ou neuf « saisons » de treize « épisodes »(comme ils disent) ça doit lasser)

lu « l’un pour l’autre » (Nathalie Rheims, 1999) petit livre (sans doute sincère) (bizarre) qui met en scène l’attirance que porte l’auteur à l’acteur disparu en 1995 Charles Denner ( tout en racontant, à grands traits, la vie de celui-ci)

ici nature morte vivante dans le bac sur le balcon

bon week-end