Pendant le weekend

1802 18 Mai 2021

 

 

 

 

retour (trente kilos de terre plus le porte tomates fluo plus les sacs plus les livres) sous la pluie – à l’arrière le cousin qui assure les péages – la porte arrière droite qui refuse des’ouvrir – 280 k kms et 26 ou 27 ans au compteur – routière – camions –  catastrophe financière (recours aux amis) – dur dur

drôle d’enseigne hein (en faire une série ? quelle affaire)
(à la pause devant la machine à café « non, là vous devez appuyer sur « non merci » et payer sans contact » hum – « vous savez même moi qui suis jeune des fois j’y arrive pas » – c’est cette inconscience des blessures infligées, ce manque de tact qui laisse songeur) pluie courses rangements lessive repas – pas facile tous les jours

(« du lilas, du lilas, qu’est-ce que c’est du lilas ? » chantait Montand) (pas d’actualité) (une chaîne pour les maladies rares, mais non j’agonis ce genre de truc (pardon, Marlen) et pourtant, qu’est-ce d’autre que les comités de soutien, la participation à la « vie » du pavé et autres ?)

en dvd Mon cher enfant (Mohammed Ben Attia, 2018) (produit, entre autres, par les frères Dardenne (on avait vu de lui « Hedi, un vent de liberté » il y a quelques années, même équipe, même production – 29 301) – les plans de dos qui suivent le héros, ceux de voiture, à l’arrière (comme le cousin hier) – un homme qui entre dans une espèce de retraite, qui a un fils de dix neuf ans qui s’en va combattre et mourir désintégré en Syrie (en martyr disent-ils) – les relations interpersonnelles joies ou peines la Tunisie le port les conteneurs la potasse le travail – pour le reste (hors-champ) (vachement bien) : tragique)

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2 Comments

    doit être beau le film oui (et un sourire au cousin qui a le même petit rôle que moi)

  • @brigitte celerier : imaginez-vous que le cousin en question va aller voir demain vers 18h45 le « ADN » de la sœur à Isild (le Besco, alias Maïwenn) (il aime le cinéma le bougre)