Pendant le weekend

dix sept cent trente sept Lundi quinze trois vingt-et-un

 

 

 

c’était dimanche le tour par la rue Levert (Victor, notaire-maire de Belleville vers 1830) où on va détruire cette maison-là

ces jours-ci il n’y a plus rien de cette verdure – il y a quelques années (plus de dix ans – déjà murée…)

ça ne fait aucun doute, ça repoussera – trouvé cet exemplaire de l’écriture manuscrite de la ravissante idiote (en haut, gauche cadre, l’en-tête précise « La Madrague » en dessous en plus petit Saint-Tropez)

le temps des copains (qui sait qui est le François Patrice (« témoin de jolis souvenirs ») (la vie de la nuit parisienne) à qui est adressée cette charmante missive, cette jolie fleur (« dans une peau d’vache » ?) enfantine, ces mots ? un deuxième (ou troisième, ou énième) rôle quelque peu, un directeur de boîte de nuit – club Saint-Hilaire Paris d’abord rue Bayard (en face de RTL, dit-il) (nul doute que DF y parut quelque jour) puis rue de Ponthieu (qui prit la place du Carol’s, autre boîte de nuit « de filles » rive droite) et Sainte-Maxime (en face de Saint-Tropez, le Saint-Hilaire-sur-mer tout aussi club – très fermé enclos ceint) (je ne connais pas de Tropez comme je ne connais pas Maxime femme et pas plus d’Hilaire) – tout ce monde est mort) (ah non, pas l’idiote) croisé chez RJL (tec cinéma continu)

un sms qui m’annonce une petite expo B2TS (merci !)

et pour finir ce présage

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2 Comments

    Ce François Patrice, animateur de boîtes de nuit du temps où BB ne versait pas encore dans la zoophilie, a pondu un opus sur cette ancienne actrice.

    Il n’a pas réussi, hélas, à décrocher le prix Goncourt.

    Mieux vaut une expo de photos de rues… dans une galerie ! 🙂

  • mieux vaut des arbres ou arbustes qui exposent leurs fleurs dans la rue