1608 Lundi deux onze – vingt vingt
on a beau parler par code ça n’y change rien : on a bon espoir pour les états unis d’Amérique et que les votants foutent dehors cette ordure qu’ils ont (lus ou moins, c’est vrai) endurée pendant quatre ans – peut-être fera-t-il comme notre nano un une visite chez les juges, ce qui serait vraiment beau (j’ai vaguement vu que le petit hypocrite cintré bleu d’ici (guère moins fréquentable que le peroxydé d’outre-atlantique (ah l’otan…)) prenait les avis du minuscule de la villa montmorency ou du cap Nègre – je ne sais pas bien où il confine) peu importe après tout, c’est Novembre (il ne compte que trente jours) puis ce seront les fêtes (?) puis à nouveau le printemps – même pas peur – une belle image venue des rézosocio
(#368) qui montre une animation (comment dit-on déjà ?) circassienne ? (j’ai adoré travailler aux cirques – dans l’entrée vin chaud et tartines de rillettes ou quelque chose – les gens accorts) il me semble bien que la voiture au lion est conduite par une femme
on a l’impression – j’aime aussi pas mal le public,là
ça ne nous rapproche que peu (mais il me semble qu’il y a pas mal de regards caméra- le paparazzo n’en est pas un et n’est pas si discret je suppose)
un truc chez Eric Schultess si ça se trouve, un autre sur l’aiR Nu si j’en trouve les moyens (la caisse ne veut plus démarrer – le temps s’est mis à l’automne -on va faire contre mauvaise fortune bon cœur comme disait TNPPI)
et une pensée (ce sont des roses) pour madame Célérier qu’on ne voit plus mais qui va sans doute revenir
Belle photo que ce tonneau infernal avec la voiture à la femme au lion.
Je me souviens avoir vu une fois une moto faire cet exercice impressionnant : d’où sans doute ma passion ancienne pour les motos ?…
Je vais aller voir ta photo chez Eric Schulthess.
🙂
@Dominique Hasselmann : pour la photo chez Eric Schultess, c’est trop tôt (demain peut-être)
viens suivre les week-end après m’être émerveillée/attendrie de souvenirs de Lisbonne… découvre que vous ave approché le cirque (cette merveille)
pour le bonhomme d’outre atlantique un peu peur qu’il ne soit pas battu… aimerais