1486 samedi 4 juillet 2020

on en est où, déjà ? la fête nationale ? on change de premier ministre sans me demander mon avis ? et on en profite pour ouvrir une enquête sur le précédent (et ses subalternes de la santé ?) ? on vit dans un monde…

j’ai cependant trouvé une belle image de la construction d’un bazar à 20 milliards d’euros quand même (pratiquement : on ne sait pas bien comment sont établis ces comptes, puisque les contributeurs le sont en nature – il y a l’Inde et il y a la Chine…)

(elle est sous (c) Gabriel Patois) – un article dans le canard qui paraît l’après-midi – pour la référence il faudra repasser – au sujet de la fusion de l’hydrogène – on espère toujours dans la technique (comme nous sommes niais, devant tant de science, hein) mais on espère que ça ne se terminera pas en eau de boudin comme le très fameux epr (où nous ne sommes pas si loin, des quinze milliards d’euros quand même), celui-ci s’appelle iter ça rime attention – (réacteur thermonucléaire expérimental ET international (soit RTEI imprononçable, certes) – il n’y faut pas voir signe… –  je me suis fait traiter de connard (j’interprète tu penses bien) par un sous-fifre du syndic (la responsabilité, cette teigne) (déclaration de sinistre dégâts des eaux j’en passe) (finances au plus bas, tout va mal) (on survivra, sans doute) – la lettre de Michel Volkovitch, mensuelle – le journal, c’est difficile, on tient, les oiseaux chantent vers 5, on tient

hier soir

cinéma

nous étions deux, puis nous fûmes une vingtaine – L’ombre de Staline (Agnieszka Holland, 2019) avec un hommage (ai-je cru déceler) au Bois de Bouleaux magnifique (peut-être un brin trop lyrique)  (le film de Wajda) (Andrzej dont l’Agnieszka fut l’assistante) (les Polonais avec leurs j et leur z intempestifs) – du cinéma c’est toujours agréable, et c’en est