Pendant le weekend

1483 Mercredi premier jour de juillet vingt vingt

 

 

 

l’histoire pourrait se trouver dans un film (on dirait que c’est grossier : ça l’est) (on dirait que ce sont des BACeux – on nous reprendrait  : non, c’est une compagnie de sécurisation et d’intervention) il ne se passe rien parce qu’il ne se passe jamais rien – c’était l’année dernière à la même époque – ce type de compagnie a été créée par devinez qui – nano 1 oui – ils sont couverts, ne t’inquiète pas – il y avait cette chanson de ma jeunesse qui faisait « nous irons un jour à Valparaiso » je me souviens – c’est ici – Marc Ogeret chantait une chanson de marins, donnant la même parole – les années soixante dix – c’est ici que ça se passe

ou là, non loin

et bien sûr qu’on trafique – ça n’excuse rien – je n’avais que trois mots cité Cordon et épicerie – par ici

sur la droite, là

Saint-Ouen neuf trois France – on les entend, à l’heure qu’il est, en garde à vue –

cette chanson aussi, tu te souviens – était-ce ici

ou peut-être là

Perpignan ? Faire le siège de la maison de la radio ? Déposer des menottes devant les commissariats ? Non, jt’assure des fois, ici vraiment… Et tellement aussi ailleurs

 

 

 

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3 Comments

    et on fatigue un peu à la longue

  • @brigitte celerier : n’est-ce pas ?

  • Castaner manque vraiment de bol à la veille du « remaniement » ministériel… 😉