B2TS Saint Louis II-3

B2TS (back to the street) une série pendant le week-end (le dimanche souvent) (parfois le lundi) de photos présentant une exposition de photos elles-mêmes collées sur un mur. 

reprendre l’habitude de poster le matin ? impossible – je dors trop, je ne peux rien préparer, il me faut lire, il me faut penser à la suite, au reste (le travail qui s’achemine vers d’autres lieux si possible mais oui) – ici

photo de groupe  avec conteneur (125 litres, à vue de nez) – une expertise de plus, dans les 1; 2; 3; 4; 10; 13; 17 – pas tellement d’années cependant – et aussi à Montgeron Crosne et d’autres que j’ai oubliés – ici en table (sans masque) – sportifs ? les mains au menton considérant le photographe –

légèrement dégradée (le grand-père en fauteuil roulant – le sourire de la petite fille – la vie, la belle vie – je ne résiste pas au plaisir de montrer mon prénom écrit par mon grand père (je n’en connus qu’un) vers le deux septembre soixante quatre (dixit la lettre que me fait parvenir mon cousin – je n’en ai eu qu’un)

des attentions qui font chaud au cœur – je dévie pardon – un mail de projet, un autre de transmission mémorial (merci) – le pli du journal est pris sans doute – je ne travaille guère en tout cas –

l’une de mes préférées – coiffeur, alignement des colonnes, sourire la couleur du short et des seaux – on la retrouverait rue Léon-Jouhaud (le Chasse-Clou (alias Dominique Hasselmann, un autre collectionneur d’images (animées souvent) de rues) y passait (en oblique,comme aujourd’hui) une écharpe sur le nez, il y a peu)

couleurs gris couple devant Panthéon peut-être (il ressemble un peu au père du réalisateur de « 68, mon père et les clous » (ce sont les cheveux sans doute)

ah donc c’était comme ça, la soirée de foot – avant – Edith Piaf ne regrettait rien – ? on s’en fout, on vit –

celle-ci aussi, déjà posée – on sourit au photographe, on présente son meilleur profil – bon, allez, je continue…

Ne lâchons rien.
Bon dimanche.