1347 vendredi 21 février 2020
café doublette un
(détourné) puis deux
offert par L’employée aux écritures (merci) rapidement pour aller travailler travailler encore – lire ensuite la fin d’Encre sympathique (trois hôtels à travailler) (quand on aime, hein) (quelque chose de superficiel et léger – à peine) (oui enfin cette chanson… pour la durée du lien tu me diras…) (un jour de mars quatre-vingt un, l’enquête sur la rue de Tolbiac m’avait mené dans un immeuble où vers deux heures je sonnai chez quelqu’un, cherchant le concierge – il n’y en avait pas – on m’ouvrit : un type qui portait un kimono de soie dans les rouges écoutait « Celui qui chante » ou quelque chose – une espèce d’apparition…) (ça ne nous rajeunit pas)
J’ai entendu l’émission de radio donnée par Charles Juliet il y a quelques temps (mettons un pluriel ça ne mange pas de pain) : trop bien – elle date d’avant-hier seulement signalée par Catherine Serre – il y a le 5 de l’atelier qui veut venir mais on a des difficultés (rien en comparaison d’autres, évidemment) (l’émission intime de croire que non, décidément, on n’en est pas – on travaille…) (surtout ne pas travailler…) beaucoup aimé – appris la disparition de Robert Massin l’un des plus importants graphistes du monde, là juste – la peine –
bah salut l’artiste !! (il était question, il y a six mois peut-être, d’en faire une interview pour l’Air Nu mais quelque chose entrave ou a entravé) (j’ai toujours quelque part l’entretien que je menai avec Jérôme Dayre et le temps me presse) (c’est que la vie est difficile malgré tout – je me souviens de Marc Auger qui me disait « allez-y foncez interroger Trenet ! un directeur de thèse on vous en trouvera toujours un ! » début 2001 – j’avais des velléités thésardes alors – et puis non) (on n’en sera pas non…) ça ne fait rien – je continue, j’illustre, j’écris et pour le reste il fait encore un peu trop froid (les arbres commencent à fleurir cependant) – j’enquête –
vous admire parce que mes ennuis qui ne sont pourtant pas insurmontables me colonisent et ne suis plus bonne à rien même pas à la lecture (le 5 ne se dessine que sous la douche et bloque rapidement sur un bof)
On notera que Monsieur Richard a dû donner un code couleurs à désassortir aux cafetiers parisiens.
@L’employée aux écritures : oui, oh ce serait lui prêter de bien grands desseins – assortir la tasse à la soucoupe quelle plaie !!! – n’y aurait-il pas là plutôt une espèce de fainéantise doublée d’un laisser-aller hasardeux ? (en tout cas, l’effet est saisi – sinon saisissant…- il y à là, comme vous le remarquez parfaitement, l’un des fondements de ce TEC) (encore merci Employée) (je ne conseillerai jamais assez l’écoute de cette chanson )
@brigitte celerier : s’ils ne sont pas insurmontables, c’est qu’ils passeront – prenez garde à ne pas bloquer trop longtemps) (courage…!)
La collection Folio, entre autres, se couvre de noir… 🙂
@Dominique Hasselmann : oui, en effet – merci du passage