1343 Lundi 17 février 2010
on espère quand même – les gens manifestent toujours rien n’est réglé – rien – et les radios journaux ou autres suppôts du pouvoir ne disent mot – ils préfèrent se gargariser des turpitudes obscènes des puissants – quel monde… évidemment qu’on préfère le cinéma : croisé ceci en en revenant à pied – rue Condorcet Paris 9 (porté à l’invent’hair – on a sa place à tenir – 3° contributeur, c’est un honneur)
on est fondé à réclamer ici une teinture fauve, dans ces conditions
– puis cette officine qui m’a fait penser à cette merveille « 68, mon père et les clous » (Samuel Bigaoui, 2017) (chroniqué en son temps d’ailleurs)
(le format carré me convient aussi) en revenant du garage (la batterie va mieux – la vidange (79 euros) (que je dois aller régler taleur) a été pratiquée (rien à voir avec l’électricité embarquée) (aller trouver « Jean-Luc rue de la Chine » pour le montage d’un autoradio – le mien fusillé : un standard à quinze euros du côté de Montilly)
– le travail : pour la première fois de ma vie d’enquêteur, une cavalière de profession (dans le 14 soit le Calvados) avec son mari/compagnon/amant/camarade (qui peut le savoir, à ce stade de l’enquête ?) employé (aussi) dans un haras (le même ?) – j’en ai vu passer, des prêtres (peu de pape, ou d’imam ou de rabbin c’est vrai), des diplomates, des magistrats, des office-managers, des back-office managers, des sœurs et des aveugles – le tout et bien d’autres des deux ou trois ou quatre genres que connaît l’humanité – ou plus ? – mais de cavalière jamais – de la lecture (encore dans les mémoires de Raymond Aron – interminables – d’autres livres en cours aussi dont le Mingus – bof)
– des messages facebook dont celui-ci
on remercie car on fait dans le cheveu… et puis ce sera tout pour ces jours-ci
CES jours ci ? oh zut
C’est marrant comme les coiffeurs font preuve de plus d’humour que les libraires ou les serruriers (petit métier en voie de disparition sur la voie publique)…
À propos de haras (et du travail harassant), je te recommande la lecture d’un livre d’André Breton : « Perspective cavalière » (Gallimard 1970)… 😉