1320 samedi 25 janvier

passage sur le Sébasto – salut à Jean-Roger Caussimon – des dizaines et des dizaines de milliers de manifestants – l’entreprise corporate start-up premier de cordée de merde qui se réunit : il ne se passe rien –

ensuite ils comptent – ils adorent compter – il y a même un organisme indépendant qui compte c’est pour dire l’intelligence de ce système – il va sans doute à sa fin et c’est tant mieux – et chacun.e de ces membres avec cinq litres de sang dans ses veines (brioches à Versailles pour les plus proches) –

parle la valetaille : cinquante trois jours de grève à la radio et le ministre qui porte et garde toute sa confiance à la karaokéyeuse responsable de cette grève la plus longue de l’histoire de cette maison (mais c’est une amie du cintré hypocrite, tu comprends bien – c’est mon chou la même eau un genre différent c’est tout : nullissime)) : la clairvoyance anime ces gens-là (concessions à venir) – les aboyeurs titrent à l’effondrement (un bon petit virus chinois par là-dessus et le peuple oubliera) (la radio est fermée depuis longtemps) un joli cadeau par la poste, « ce machin qui reste en mode été toute l’année » (merci encore)

au cinéma Le Photographe (Ritesh Batra,2019) (production amazon : je le dis pour ceux (dont je suis) que ça intéresse mais révulse cependant -je parlais hier de ce capitaine d’industrie immonde) mais une merveille – surdécoupée peut-être, mais une merveille (

Aujourd’hui, on enterre ou incinère je ne sais le père d’un ami proche : comme il aimait la musique si fort, un peu de celle-ci pour lui.