1303 Mardi 7 janvier 2020
(on met un peu de temps à s’habituer aux dates – on marche pas mal – courbatures, étirements, flexion respiration) (je ris mais je suis fatigué – sans doute l’âge, le froid, la haine de l’hypocrisie – quand tu vois l’abruti (disruptif et en immersion, certes) (je cherche son blaze attends : fesnau, voilà, marc de prénom) qui raconte que le projet de loi sur les retraites est envoyé au conseil d’État, tu imagines l’intelligence qu’il y a derrière les mots fats de l’autre ferme et barbalakon cintré comme son supérieur) (et la confédération qui va comprendre qu’on l’entend et qui va faire sa fièrote) – est-ce que ça va pourrir ainsi que pour 2005 et l’Europe, la nuit debout loi travail (ni loi ni travail putain) la réforme de l’université ? c’est ce qu’ils aimeraient qu’on croie, mais non
il y avait du soleil quand même (wip)
(tartare café : 15 e) (avec V. à se remémorer Carette et Pierre Larquey en chauffeur de taxi) (Quai des Orfèvres, Henri-Georges Clouzot, 1947) (Ah Simone Renant…) le cinéma me manque mais qu’est-ce que tu veux faire ? Une chronique sur l’Air nu dans Ville et Cinéma pour Euridice – une en préparation pour le film chinois Séjour dans les monts Fuchun (une merveille) – et puis le cinéma, j’ai des appréhensions je déteste ce monde et cette production – la littérature (numéro deux atelier peut-être) (saisir à présent) ici un autre TEC (travail en cours) – franchement le mur était mieux avant
(avec pylônes en bois d’un autre siècle peut-être) (dès la disparition des interdictions d’approcher, il y aura du neuf, t’inquiète) – se lever se laver se vêtir
Les pylônes (salut à Faulkner) en bois, la ville est ultra-écolo, pour un temps, surtout dans la rue de Belleville !
Les monts Fuchun, une visite à faire…
Et la police à l’envers (déjà pris en photo ici ou là) : voir la bavure mortelle concernant Cédric C. (j’ai suivi ce matin la conférence de presse en direct sur le compte Twitter de David Dufresne). 🙁