1256 Jeudi 21 Novembre

une espèce de fraise

mes contemporains parlent au téléphone dans le métro, de plus en plus  – j’aime le métro (malgré sa régie) mais les gens me fatiguent – j’allais boire un café gare de Lyon (on a parlé de Quai des Orfèvres (Henry-Geogres Clouzot, 1947), de Suzy Delair (102 fin décembre quand même – et mes respectueux hommages) et de son tralala (la deuxième scène du film), de Louis Jouvet qui fait à Simone Renan « vous êtes un type dans mon genre, vous n’avez pas de chance avec les femmes ») – le monde

(désolé pour le point) (mais les couleurs y sont) – les gens oui – la saisie – la moitié faite, l’internet qui déconne, l’enregistrement qui prend dix minutes – travaillez, prenez de la peine – j’ai posté les index à Lucien, je les publierai sans doute à la suite de ceci – aussi à la publication incessamment le journal de l’atelier (cent illustrations minimum) (en deux billets, je suppose) – garder la tête hors de l’eau, essayer de ne pas trop en faire, continuer quand même le reste (les textes parc, famille, puis la cuisine, les courses et le reste du reste) – passant devant le futur chantier participatif de la mairie de Paris (futur depuis trois ans) (un mouvement des feuilles)

vu au café la présidente de la région (sur bfm tv cette pourriture) défendre le choix du sponsor plus ou moins hors-la-loi des jeux olympiques vingt vingt quatre parisiens (le comité international olympique soutient aussi) (cette honte) (et ça ne fait que commencer,  les affaires étant ce qu’elles sont) (ça promet) (on a peut-être échappé à Europacity, cette enflure immonde, mais pas aux jeux – on dirait dysneyland…)