1219 Mardi 15 Octobre
il faisait beau, c’est pour ça
et doux par dessus le marché (c’est une drôle d’expression, ce « par dessus » là) – sur la passerelle, croisant les coureurs marcheurs cyclistes (eux sont plus en dessous) longeant le canal, cette Villette-là (je crois que les manifestants XR s’y sont réunis dimanche) (je me souviens des enquêtes auprès des habitués de l’appel du dix huit joint) je passe et vitupère intérieurement contre ma paresse
et la pourriture de l’institution (quelle qu’elle soit je le crains mais sans, comment faire ?) – je marche le ciel par dessus les toits bien sûr (je pense au Titi qui va s’envoler vers l’Amérique latine)
j’y pense maintenant parce que au moment de la photo, non : c’était un travail en cours que je mène
la voiture (les voitures et le même garage et encore pas exactement) et son garage
l’un d’eux transformé en musée éphémère (jusqu’à la fin du mois si je ne m’abuse) ( je croule sous les travaux à faire finir très entamés etc.)
Peu me chaut : j’avance.
en dvd la deuxième époque de Nos meilleures années (Marco Tullio Giordana, 2003) donc un téléfilm une mini série (4 épisodes de une heure trente, ou deux au cinéma de trois heures) pas un seul traître mot de l’affaire qui m’occupe (je me disais « il n’en parle pas ? » eh bien non)
promenade dans un billet en ne comprenant délicieusement que peu, comme un voyage
Ciel croisé au-dessus de la rue Alibert… 🙂
@brigetoun : c’est assez opaque, en effet… merci de suivre
@Dominique Hasselmann : bien vu !