Mercredi 25 septembre 1199
on a changé les verres des lunettes (cent cinquante euros pièce – les précédents en bout d’obsolescence programmée comme on dit maintenant laissaient à peine passer la lumière) c’est mieux, certes – il y a des nouvelles ravissantes notamment celles concernant les deux wtf peroxydés du PPM (paysage politique mondial) – racistes, homophobes, machistes, menteurs voleurs truqueurs : c’est réjouissant il me semble) il y avait briefing de rentrée (une réunion pour mettre au point le travail à venir), j’ai donc croisé la souche dont les surgeons croissent et embellissent
la pluie, les claquettes, le monde qui bouge – il y a quelque chose avec les appels que je lance, mais n’importe, c’est mon lot – je les lance je n’en reçois guère – c’est mon lot – je lis »Années de rêve et de plomb » (Alessandro Stella, chez Agone) – je rédige des billets pour la maison(s)témoin – un truc sur les gens (lien actif vers 9) : sur la photo précédente il y en a un droite cadre : voici
même s’il se planque) je t’en pose un autre tiens (ça ne se dit pas au singulier, ça)
qui vient en droite ligne de
ils ne sont pas les sujets de l’image
– puisqu’il pleut je prends le métro : deux options pour capturer la dormeuse sur deux sièges (faudrait pas non plus s’emmerder trop, pfff) : en paparazzo à l’aveugle
le cadre est assez labile mais la définition meilleure
ou en mode selfie mais le capteur est d’assez mauvaise qualité (je préfère la première) (j’avais une amie que j’ai vue naître qui avait un peu cette dégaine – Ag. je l’aimais bien, tu sais – comme son frère J. – mais les chemins s’écartent et les routes se défont) – et donc, la nuit blanche a lieu le 5 octobre – on sortira s’il ne pleut pa
coeur en joie devant la souche
coeur en sympathie avec la dormeuse
Paris se « verdit » et les arbres jouent à la va-comme-je-te pousse…
Marrant, le métro où l’on peut dormir (bien choisir son horaire ) ! 🙂