6 juin 1093
Il faut suivre les débats (de loin) du procès de l’immonde
et tenter de garder la tête hors de l’eau (la pluie hier, comme une antienne, quelque chose d’humide : le froid surtout) (submergé par lui, et elle, je ne suis pas resté après la fin du débat sur les langues patoises organisé par le marché de la poésie – il y avait là l’ami Lucien qui parlait picard (j’aurais du lui parler de sa serre, mais non) – ici ce sont les intervenants : Itxaro Borda (basque), Aurélia Lassaque (occitan), Thierry Malo (créole antillais), Lucien Suel (picard). Températeur, Pierre Drogi –
je suis parti comme un voleur – mes excuses…) (j’avais trop froid : c’est sans doute l’âge qui reprend sa course insensée – on l’ignore, mais il continue)
En remontant la rue (magasins à dix mille, montres et bijoux et fringues – Saint-Germain des Près cette horreur) croisé cette image à la Janus (blonde/brune image clivante, trait rouge, machisme qui peut savoir chapeau ou pas yeux ouverts ou mi clos- on oublie)
ou l’inverse
lu les Coma (en partie celui de Guyotat – ce sont des turpitudes en sauce chrétienne, un style hermétique et un peu hautain – première apparition du mot page 91 – avec un k cela veut dire silence en même temps (je ne sais pas trop d’où je tire ce sens) – en partie l’autre que je corrige doucement) ainsi que le texte cabanes des amis collectivistes et passagers – à paraître certainement – je repose cette image qui en rappelle d’autres posées en maison[s]témoin
ainsi que cette autre pour égayer l’ambiance
Jackie… Marilyn… comme un jeu de pelotes… 🙂
finalement elles gagnent tout de même sur les commentaires et utilisations
merci pour les fleurs