19 avril 1045
métro saisie métro séminaire métro – que de monde le soir – mais là, tranquillement
téléphoner, consulter, lire, rire, crier : dans le métro, je reviens je passe par là (Hôtel de Ville : cinq toits pointus au feu vert)
saisir à tout va, et encore et encore – vivement les vacances – même si je fatigue, j’avance – sans trop de difficultés, le texte a plu au commanditaire, c’est toujours ça – continuer encore et encore – les rues, les gens, l’espoir – croiser cet exemplaire
dans la traduction de Margo – on fait ce qu’on peut (je dis ça pour Christine Jeanney) (chez Plon) – au séminaire, la controverse à propos de ce bouquin (« Sexe, race et colonies » à la Découverte, mis au point par P. Blanchard) – on ne le dit pas sur l’infographie suivante, mais le truc pèse dans les 5 kilos quand même (mastère de Camille Enzinger)
des images qui choquent avec des textes qui ne les expliquent que peu – ou mal – mais en parler, n’est-ce pas en faire publicité ? – c’est en partie le problème de ce genre d’ouvrage – j’ai joint un ami libraire (il paraît que le livre se vend plutôt très bien) (et en effet) mais il semblerait que (sic) »à une vache l’auteur vendrait son veau »… A suivre ?
un salut aux vagues oui
et le bonheur de vous suivre de loin, comprenant ou non, quand avancez, regardez, comprenez ou le tentez, intelligence en éveil
« Les Vagues », de Virginia Woolf, dans la traduction de Marguerite Yourcenar, a été publié en Livre de poche (1982), donc nettement moins cher que l’exemplaire original que tu as repéré.
Mais j’ignore s’il a a été réédité ou si c’est Christine Jeanney qui lui succèdera…
Bon week-end pascal (existe aussi en Livre de poche) !