8 février 1075

le plan avec l’Italie : j’adore (je rappelle aussi mon ambassadeur immédiatement) (on va parler et aller ensemble à Montargis, ou mieux, Commercy) en attendant demain ça continue – on ne sait pas trop, fumée ou affaire d’État que la démission au petit château) (amusant ou même pas ?) il faut marcher cependant (ce que je fais aussi) (y’a plus moyen de mettre de l’air entre le titre et le texte, et c’est fatigant)

je dis j’adore mais je déteste la puanteur de cette troïka italienne (on n’entend plus guère le président mais ce sont les Alpes qui empêchent sa voix de passer) (tout ça est fort politique, ça s’accélère ou c’est moi ?) (zoom avant)

ce que fait le jeune homme là, je crois qu’il tient un téléphone mais rien de sûr – ce sont des images qui alimentent un dialogue que j’ai établi avec l’ami Olivier Hodasava – hier il y avait pourtant un ciel splendide et bien, zéro photo, zéro cinéma (je lis « La vie des productrices » Yonnick Flot et Christine Beauchemin-Flot) (je ne suis pas certain d’apprécier)

séminaire sur les ex-voto par P Olivier Dittmar, la magie anthropologique et aussi médiévale (souvenir de la petite boîte découverte au sommet du Grana par Bério lors de son retour sur la montagne où son père avait marché de son vivant) (ce si joli livre de Paolo Cognetti, Les huit montagnes 2016)