12 février 1079
il y a la 9 et la 8 d’un coup – une demi-heure de vidéo quand même (pas encore sur cette page, mais ça va venir – on a dix jours aussi – qui rappelle un peu qu’il faut écrire comme si on n’écrivait pas – j’ai procédé au hasard (on a un bouton de hasard dans la machine « découvrir un autre auteur au hasard ! » dit le titre – on tire donc au hasard) mettons aujourd’hui la parution de sixième auteur (Frank Dumoulin) « Elle s’appelle Gorée » (pourquoi six j’en sais rien, c’est ça le hasard tu comprends : chacun.e choisit son pas) pourrait être le titre – on cherche des trucs comme on aime, par exemple ici
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ou là
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on essaye d’inventorier le style, la façon, la manière – et en voiture on klaxonne.
Poser le signet/doigt sur DUAAH, cliquer : vient à l’image Françoise Renaud (ça tombe bien, tiens), procéder de la même manière.
J’ai tenté le truc hier, bizarrement il y avait Frank Dumoulin, mais avant lui se tenait Rennes-le-Château – j’ai lu puis m’y suis rendu : il y avait ceci (j’ai oublié le nom de l’auteure (il me semble bien) (je veux dire il s’agit d’une femme)) il y eut donc
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et ceci aussi
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on ne voit pas la dame aux ongles noirs qui tire les tarots, mais ça donne une idée.
Recommencer le processus.
Evidemment, ça prend du temps (on n’en a pas tant que ça non plus) (d’autant qu’on dort mal, ces temps-ci, on a des soucis idiots mais on doit travailler, et quand on travaille on a comme on sait des soucis idiots – je n’apprends rien à personne, je sais bien aussi – sur le métier mille fois remettre son ouvrage, encore une fois, encore et encore).
Je ne choisis pas vraiment – je n’ai pas illustré Françoise Renaud, c’était un exemple – elle me le pardonnera, j’espère – je continue mon affaire (fermer la sas, payer les contributions directes et indirectes, mettre au propre les comptes, ne pas dormir – et aller au charbon) (faut que je me rase)
Hier soir ils ne m’ont pas laissé entrer – je n’avais pas ma carte… Bof. J’ai tout de même croisé cette boutique hier matin, rue de la Gange-aux-loups (ici ils sont plusieurs – chez Barbara il est seul) (un rendez-vous sans doute) (en vrai Buisson-Saint-Louis mais peu importe) un pressing aux couleurs de Carthage
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en Dvd Les Blues brothers (John Landis, 1980) formidable de drôlerie (les guests stars, cette merveille) (mais le deuil quand même…)
Tout ceci est un peu crypté… mais les « Blues Brothers », ah, yes, vive les voitures de police américaines de cette époque (on a eu aussi des « pies » mais je n’en ai vu qu’en films français)… 🙂
merci Dominique de dire que c’est un peu crypté parce que n’ai pas compris le processus (juste salué l’évocation de Françoise Renaud)
quant aux 8 et 9 bon ai compris en gros ce qui est demandé mais pas du tout comment vais éventuellement y répondre… suis pas bonne à grand chose et autres trucs actuellement, plus une envie prégnante d’imbécilités.. on verra
@Dominique Hasselmann : c’est certain que le billet est plus à l’adresse des participants de l’atelier, et qu’il est à peu près incompréhensible au profane… Désolé…