26 janvier 1063
(c’est égal, mais ce nombre d’acte réfère à quoi, sinon la volonté du pouvoir de ne rien lâcher ?) (l’ISF d’abord, il me semblait…) (en tout cas, ce qui est certain, c’est qu’il n’y a aucun dialogue et que ça n’entend pas raison – ça a beau tenter d’appeler ça « grand débat » ça donne juste envie de gerber) (vu l’état du Vénézuela, on a froid dans le dos – le reste du monde et les diatribes des transalpins, cette horreur, tout autant) ne rien lâcher donc… Ça a commencé avec un café au Carillon avec le Chasse-Clou (aka Dominique Hasselmann) puis discussion autour d’un plat (filet mignon en face, tartare frites de ce côté-ci)(côtes du Rhône) – ici la déco du bistrot
à propos de Lisbonne et de la volonté de mourir dans la dignité – à l’aller
au retour
fait gris hein – la pluie, lecture de « Les huit montagnes » (Paolo Cognetti) charmant (lu 80 pages on verra) retour vers l’administration – comptabilité – galère – accroche-toi steuplé – je suis fatigué – expédition de voeux – images de D.Pasquier (en voici une pour ceux- et celles soyons juste – qui passent par ici)
dans le métro, devant monsieur Chat
au cinéma Les invisibles (Louis-Julien Petit, 2019) dans la même veine que son (tout aussi magnifique) précédent Discount (2015) avec une distribution magnifique – à ne manquer sous aucun prétexte (même si on pleure un peu) (le cinéma c’est aussi pleurer ensemble…)
merci pour le et celles
et oui le cinéma c’est fait aussi pour pleurer ensemble
Merci à toi : oui, « Le Carillon » sonne toujours à la bonne heure…
Pas encore vu « Les Invisibles » mais c’est bien face à quoi le gouvernement macronien et son chef se retrouvent en ce moment : il ne suffira pas de les qualifier d' »enfants » (un terme tout à fait semblable à celui utilisé par Pétain) pour leur faire entendre raison.
« L’ISF, ce n’est pas la cause des SDF », a-t-il dit lors de son troisième one-man show : en effet, jamais personne n’a réussi à prouver (Marx ? Connais pas !) qu’il y ait un quelconque rapport entre richesse et pauvreté !!! 🙂