25 novembre 1001
(on se souvient un peu de 1995 – la fois où on avait un peu gagné, mais depuis niet, bernique, fuck) (des fois je m’énerve mais c’est tellement inutile) catastrophe interplanétaire : monsieur Kini a mis la clé sous la porte, terminé le garage, les réparations, l’entretien de l’auto – 258 mille kilomètres, faut pourtant entretenir la bête, eh ben plus là…
(demain début du stage reprise de points de permis – 135 euros merci bien – j’en ai plus, je crois bien – mais l’administration (wtf) ne m’en a pas encore averti : je devance l’appel) (FO) je suis énervé, d’autant qu’ils ont fait disparaître la tour
C’est la saison qui veut ça (froidure, deux paires de chaussettes plus collant en laine, plus manteau – gelé) (et encore on n’en est pas aux grands froids) détestable, mais dans un mois on en aura presque fini,on basculera dans dix neuf, on s’en fout,on continue (hier soir, chez les amis, discussion sur le bon Carlos qui suit – évidemment – les consignes du peroxydé : il nie tout en bloc (c’est assez beau, c’est brillant c’est grand)) ici une image du pavé de l’église dans laquelle je suis allé poser un cierge pour ma mère et sa soeur (aka TNPPI), plus un pour ta mère et son mari
(drôle de rite qui s’est emparé de moi,je crois, à la mort de ma mère) en bas de la rue, ils vont démolir l’immeuble qui fait le coin Desnoyer là où se tenait ce bar « Le vieux Saumur » qui me faisait souvenir de ce groupuscule nommé Trust qui chantait une chanson de la plus haute tenue intitulée « Saumur bastion de l’ordure » (faut pardonner ça rime) (j’ai mais vaguement un souvenir du cadre noir) (ah si une fois, en auto, en passant par là pour se rendre dans ce lieu où on buvait du coteaux du Layon – mais je ne bois plus de vin, misère…)
Pensez aux cartes postales pour l’AiR Nu au 72 rue de l’Assomption, 75016 Paris, quelques mots pour décrire où vous l’avez eue (la carte) ou ce quevous voulez… Merci d’avance.
Et bon dimanche, surtout
le temps où on cherche comment entasser de la chaleur sur la peau sans trop gêner les gestes 🙂
vais finir par renoncer à trouver où j’avais vu des cartes potables et envoyer une photo de lavande brillante et qui bouge (le bureau de tabac de la place de l’horloge)
Le brouillard est un petit malin, sans doute sa seule fonction : magicien !