29 octobre 973
une image d’un cadeau qui n’est pas arrivé à sa destinataire – acheté à Kimi il me semble
hier, ils étaient en uniforme (ils avaient sortis les « doudounes » et les vêtements de sport, basketts tout ça, gentils au demeurant – travailler mais préférer écrire : des nouvelles du front de Lisbonne (sous titré « Et alors, Lisbonne ? ») et d’un artiste d’art des rues, on verra ce que donnera cette entraide mais ça me plaît assez (ça ne risque pas de faire bouillir la marmite ni d’apporter beurre à épinard, mais c’est aussi pour ça qu’on travaille – jusque jeudi compris)) : un peu de douceur dans ce monde qui s’effondre : ici les deux bacs se croisent
(Italie, Hongrie, Autriche, Pologne, Russie, USA, Brésil – j’en oublie mais l’ex-footballeur turc aussi – les ordures sont au manettes et si on avait quelques doutes, le peroxydé s’est empressé de saluer la victoire du facho de service – je ne sais si le minus à sa bobonne va lui emboîter le pas, mais ça ne m’étonnerait qu’à moitié) contrechamp : au loin, Eubée
intérieur jour – une image à contre-jour toujours difficile à réaliser mais je les tente quand même – je les rafistole, les recadre, les redresse, tout le binz –
l’homme boit un café frappé (je vais m’en faire un, chaud vu que les temps sont aigres et malsains – se couvrir, résister et combattre : ce seront les prochains mois…)
si ce n’était que les prochains mois
Entre ceux qui ne devraient jamais toucher aux manettes et ceux qui perdent les pédales…