17 juillet 869
c’est André Markowicz sur facebook (sa chronique : le parapluie) qui racontait qu’on nourrissait Oleg Sentsov par les narines – vitamines par exemple – afin qu’il reste en vie dans sa prison – des choses qu’on n’a aucun mal à croire venant de l’administration tenue par Poutine – les Pussy Riot ont pris 15 jours de prison pour être venues sur la pelouse (je me souviens d’Anna Politovskaïa) (et si je remonte dans le temps, les seize et dix sept juillet quarante deux, la rafle) (va comprendre les souvenirs et les relations qu’ils entretiennent…) et pendant ce temps-là, en Angleterre – où STGME2 a eu le détestable privilège de patienter pour attendre que le peroxydé veuille bien la voir (n’importe quoi, lui, comme à l’habitude : mais – je ne sais pas vous – j’ai l’impression que vacille l’ordure) – en Angleterre, les affaires vont plutôt très bien : on vend à tour de bras des avions – tout baigne.
(sur la rue Riquet, après le pont bleu)
il faut finir – et dans une dizaine de jours, pause estivale – travailler, écrire (la 24
), regarder aider inviter donner – le bon côté des choses
vu ça dans la rue
et pris ça chez ana nb (une des voitures de ma famille, dans les années soixante – elle était dans les bleu clair – millecinquecento écrit en toutes lettres) (merci à elle – j’y ai même pas demandé, t’avoueras…)
au sarah bernard on a discuté transports libraires livres : rien du contenu heureusement…
à côté le type qui vend des crêpes s’est installé et a bu du thé à la menthe, la tour Saint-Jacques, presque neuve, les vélos qui passent les filles et robe l’été ;
et puis demain ma mère qui rentre dans sa maison médicalisée, finir ses jours, tranquille, à Rivoli