13 juillet 865
douceur du canal (écluses etc. lu « à l’encre rouge » (Michel Quint, Rivages), pas si mal) (OSEF en vrai mais tant pis, on lit, on passe, on va travailler)
on passe d’ici à là (New-York, avec ses publicités ravageuses, la pléthore, l’image de la femme et tout ce qui va avec…)
il faut dire que le président de ce pays a une certaine ampleur : on le voit ici avec ses acolytes (un dictateur qui flanque des milliers de personnes en prison, pour délit d’opinion (elles mourront ? et alors ?); un premier de cordée pognon de dingue piscine et charmante compagnie) (entendu dire que son ministre des comptes publics programmait des licenciements de l’ordre de vingt mille dans la fonction publique : ça dit quelque chose ?) les sourires magnifiques de ces gens-là (n’importe « on est en finale ») : organisation du traité de l’Atlantique nord
il vaut sans doute mieux essayer d’écrire – travailler et honnir haïr agonir ces gens en bleu, ce pouvoir ignoble et ces sourires hypocrites – j’espère au moins qu’il a emmené bobonne avec lui – magique la musique au bord de l’eau, en sortant du turbin
bon week-end surtout.
le livre, les enquêtes, Nanterre et ma mère « ils me font tous chier… », les pétards, les militaires les avions, la mort, le rendez-vous de juillet, au milieu, 18 jours, le boulot, l’ensemble et la fatigue même le matin
avais décidé de me couper d’internet là ce matin… mais bien fait de passer au moins chez vous ne serait-ce que pour ce musicien (me fait penser à mon pêcheur solitaire dans la nuit l’autre soir à côté de l’excitation des amateurs de foot – des sages à imiter
@brigetoun : merci du passage (bonne fête…!(?))